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 Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }

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Éthelbert D. Myers


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MessageSujet: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyMar 17 Avr - 23:57

On a pas tous la chance de dormir jusqu'à pas d'heure, non plus celle d'avoir un lit à notre goût et de l'argent à n'en plus finir. Non, il est vrai qu'avoir ce que l'on veut, quand on le veut et là où on l'attend, ce n'est pas à la portée de tous et de toutes, et c'est en se réveillant à huit heure et demi du matin que le jeune homme découvre la vie d'un autre Homme. Sortant de son lit sans se donner le temps de bien se réveiller, il retira son unique sous-vêtement avant de se lancer sous la douche, chaude de préférence, car l'eau chaude, c'était sans doute la seule chose qui semblait lui plaire dans cette chanbre qu'il avait loué pour une unique nuit. Se douchant alors seul, il prit un minimum de temps respectable afin d'être libéré de l'emprise du sommeil qui ne voulait pas s'extirper de sa tête, celui-ci, suite à une petite douche revigorante s'essuya et s'accoutuma d'une chemise galante et un peu tape à l’œil ainsi que d'un jean et d'une paire de chaussures … Sans doute l'unique vêtement qu'il semblait posséder depuis la veille, un vêtement dont il allait devoir se séparer le soir afin d'en changer, mais pour cela, des achats s'imposaient, et de l'argent, il en avait gardé pour cette occasion. Sorti de sa douche, habillé et dents brossés, il descendit sans même prendre la peine de vérifier l'état dans lequel il avait laissé la chambre en la quittant, même si à vrai dire l'état de celle-ci le préoccupait très peu, fêtard d'ordinaire, faire un état des lieux était pour lui une tâche bien aisée.

Éthelbert paya la chambre avant de sortir de l'hôtel en question, celui où il avait passé sa nuit. Habillé de son costard du jour – et du jour précédent – il vérifia sur un morceau de papier l'adresse du lieu où il devait maintenant se rendre en ce matin frais et légèrement humide. Oui, effectivement, l'air frais semblait fouetter ses vêtements, ainsi que son visage qui fut l'assaut de plusieurs vents successifs, sa chevelure à plusieurs reprises retouchées par la vent, ne semblait pas faire les frais de la température contrairement au jeune homme en étant le propriétaire. Mains dans les poches, il faisait sa route vers un café du nom de starbuck coffee, et durant son trajet, seule la lumière du soleil lui apporta quelques instants de chaleur dont il espérait la durée à chaque fois. Le touriste ne connaissant pas New-York se força à demander son chemin à des inconnus afin de pouvoir s'orienter correctement et ne pas se perdre dans cette vaste ville.

La venue de Myers dans le café se fit avec un léger retard de dix minutes, le temps de retrouver les bonnes rues, de revenir sur ses pas afin de faire demi-tour et d'enfin tomber sur le bon café, il avait perdu du temps sans pour autant se presser dans la perspective où plus il marchait vite, plus il avait froid. Entrant dans le dit Starbuck Coffee, il chercha du regard la personne qu'il était venu rejoindre ce fameux matin, et finalement la trouva sans difficulté après un parcours du regard assez court. Une femme du même âge que lui, vingt ans, qui était assise à une table, celui-ci ne fit pas attention à ce qu'il pouvait se trouver sur cette fameuse table tant il était content d'être au chaud et d'avoir trouvé chaussure à son pied durant cette découverte des rues new-yorkaises et se rendit à la table en prenant place et en se présentant,
« Navré du retard, je ne suis jamais venu à New-York, alors autant dire que c'était presque comme chercher une aiguille dans une mole de foin, encore désolé … ». Éthelbert avait beaucoup de défauts, comme son léger manque de ponctualité, ou ce fameux sens de l'orientation qui faisait très souvent ses bagages pour un temps, cependant, le respect restait d'actualité dans ses qualités, exemple : les excuses présentée à son interlocutrice.

N'ayant pas la banque dans ses poches, il proposa à Seven, tel est son prénom, un café en guise d'excuse afin de se faire pardonner, même si dans le fond il en avait aussi envie afin de se plonger dans une atmosphère plus chaleureuse et plus ambiante,
« Je t'offre un café, ou quelque chose d'autre pour me faire pardonner ? » Un petit subterfuge, aussi, avant d'en venir au sujet crucial, avant d'aboutir sur quelque chose de plus sérieux, mais il ne préférait pas se jeter sur le sujet, d'en faire le monopole de la conversation et poursuivit alors le dialogue en présentant une certaine joie à l'idée de retrouver cette amie qu'il avait rencontré deux ou trois fois par le passé dans sa capitale bien aimée. Le regard plongé dans celui de la demoiselle en face de lui, il se demandait comment les choses allaient désormais se dérouler dans cette nouvelle vie, cette nouvelle ville, avec ces nouveaux habitants dont il ne connaissait presque rien. Il reprit le dialogue, reprenant sur un bon terme, engageant une conversation amicale afin de détendre l’atmosphère et se changer les idée, « Je suis assez content de te revoir … On peut dire que ça fait une petite année que l'on ne s'est pas vue, enfin, à vrai dire on n'en a pas vraiment eu l'occasion … De ton coté, ça va ? Raconte moi donc comment les choses se sont déroulées depuis ton dernier voyage à Paris, Seven, ça à l'air pas mal dans le coin en plus … » Il parlait sans avoir un vécu dans cette ville, mais comme à Paris, cette ville en jetait et attirait beaucoup de monde, donc il profitait de l'occasion pour y glisser une impression sur New-York.
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyMer 18 Avr - 19:24

Le loft, il est dix heures, réveille toi. J'ouvre les yeux. Seule dans mon lit. Repensant une énième fois à "cette" nuit là. Je me roulais sur le ventre avec peu de motivation pour me lever, sachant qu'hier, la maison était un vaste bordel, une soirée entre membres de The Pills et d'autre potes et comme à chaque fois, ça termine tard, et pour certains la tête dans la cuvette, se ne fut pas mon cas, dieu soit loué, car aujourd'hui, je devais me lever tôt. J'avais rendez avec un mec que j'avais rencontré à Paris il y a de ça presque 1 ans, lors de mon dernier voyage à Paris. Je me regardais dans la glace en face de mon lit, mon visage un peu endormi. Les cheveux attachés en bataille, j'aimais cette tête, Loup se posa sur mon lit m'apportant le petit déjeuner, puis Thomas, qui se posa un pétard en main sur mon lit, c'était le skouat de l'ultime, on riait ensemble, Thomas fit tourner le joint on commençait à traîner mais moi fallait que je me bouge. Les gars restèrent dans ma chambre, sans aucune envie de bouger. Si tu veux être une fille ici, faut pas avoir peur de sortir peu habillée devant une bande de potes, surtout les miens. Mais j'aime vivre avec Thomas et voir les autres débarquer quand ils veulent, avec des bières, et on répète et on s'éclate. C'est pas bien compliqué, c'est juste des potes, une sorte de vastes colocations, c'est grands chacun peut avoir son espace. J'aime ce qu'on a réussi à construire.

J'enfilais un jean gris, un pull en maille bleu, une paire de bottines, une veste en jean, je pris mon sac en bandoulière avec tout ce qu'il fallait à une fille pour passer une bonne journée, avec en plus des clopes, une boite avec des joints pré roulé et une bouteille d'eau. Je devais aller au Starbuck, j'avais donc pas pris de petit déjeuner pendant que les autres se gavaient de la brioche que ma mère avait apporté, pour je ne sais plus quelle raison. Elle avait même profiter de la présence de Thomas pour fumer un pétard avec lui. Je quittais le loft, je regardais ma montre, j'allais certainement être en avance, j'étais toujours en avance de toute façon. J'entrais dans le Starbuck, la tête dans le pâté avec le peu de mascara que j'avais réussi à mettre avec ma main lente, j'avais abandonné, si bien que j'avais un côté plus maquillé que l'autre, c'était pas évident, plutôt subtil même, mais j'avais trouvé ça drôle alors j'avais laissé ça comme ça. J'étais assise avec des pancakes, j'avais trop envie de Pancakes, avec des fruits et du sirop d'érable, j'attendais Ethelbert pour commander mon café, j'aime pas boire les cafés seule, c'est chiant. Je sais pas à un moment tu t'emmerdes. Je me posais dans un canapé, et il arriva. Je sais pas, il était tout mignon. Avec cette tête endormi. A Paris, il m'avait bien fait rire et j'avais vu voir la Bute Montmartre, et des trucs de touristes, mais j'avais bien aimé, c'était une ambiance bien différente, les gens buvaient dans les rues, sur les pelouses en face de la ville de lumière. J'aime Paris, enfin je crois. Tout me semble un peu cher, mais j'avais beaucoup aimé. Il s'excusa de son retard. Il proposa de me prendre un café pour se faire pardonner, je lui souriais et hochais la tête, positive à ce geste. « Oui, je veux bien, Un Latte Machiatto, celui avec du caramel. » Il me demanda comment se passait la vie. Oh bah, des concerts, on commence à se faire connaître, on avance. Ma sœur qui me proposait de venir vivre avec elle dans l'Upper East Side. J'avais pas envie de quitter l'Upper West Side et Brooklyn, j'aimais trop cette partie de New York, c'était comme vivre sur la bute Montmartre, c'est mon luxe à moi. « Oh tu sais la vie New Yorkaise, on s'occupe quoi, ce serait long à raconter, c'est plus bruyant que Paris en tout cas. Mais dis moi qu'est ce que tu fais ici ? Le rêve américain ? » Je piquais dans mon pancake, qu'est ce que j'avais faim, ils m'avaient tous donné faim à manger dans mon lit avec leur brioche là, bande de profiteurs, ça skouat jusque dans mon lit. « T'as des amis sur New York ? A part moi évidemment ? » Je souriais, mon dieu que j'avais envie d'une cigarette.


Dernière édition par Seven T. Belle le Dim 13 Mai - 17:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyLun 23 Avr - 19:36

Les cafés new-yorkais sont toujours bien remplis, généralement peuplés de jeunes étudiants, ou bien d'adultes cherchant un endroit où se poser pour se détendre. C'est vrai quoi, se donner un peu de plaisir avec des amis dans un pub, un café, etc … C'est toujours plaisant, une ambiance conviviale, amicale, une bonne entente … Fin bref, tous les ingrédients pouvant mener à une scène bien amusante entre amis. Dans le cas de Eth, ce n'était pas vraiment le même genre d'ambiance, à vrai dire, face à son amie, il se sentait un peu bête, elle ne semblait pas aussi perdue que lui, à vrai dire, elle devait vivre ici depuis bien longtemps comparé à lui qui venait tout juste de débarquer la veille de leurs retrouvailles. Le garçon passa la commande, rajoutant à celle-ci le café qu'il voulait, oui, un bon café pour se réchauffer les mains ainsi que l'entierté de sa carcasse animée par son esprit d'aveugle et d'inconscient. Après cette fameuse commande, il explora de nouveau les lieux du regard, tout était presque différent de Paris ici, quoique, l'ambiance y était presque la même, à quelques détails prêts. Une grande différence qu'il y avait entre New-York et Paris, c'était peut être le fait qu'ici, Eth n'avait presque aucune attache, hormis sa connaissance du soir dernier qu'il avait retrouvé par pure hasard et Seven, présente face à lui, il ne connaissait rien ni personne dans le coin, un peu comme une souris lâchée dans un labyrinthe. Cependant, il ne présentait presque aucun des symptômes du mal du pays, le décalage horaire ne l'avait pas tant chamboulé que ça, et les paysages de New-York ne lui avaient pas fait tourner la tête autant qu'il se l'était imaginé, au fond, il s'était un peu monté la tête pour un rien.

Alors, quand celle-ci lui demanda la raison de sa venue, jetant alors sur la table l'hypothèse du rêve Américain, celui-ci ne pu s'empêcher de laisser s'échapper un léger rire. Le rêve Américain ne l'avait jamais vraiment préoccupé plus que d'ordinaire, l'Amérique a toujours été, et sera sans doute toujours un des pays les plus prestigieux, étant d'emblée la première grande puissance économique au monde, il est vrai que le stéréotype de ce rêve futile était plausible l'espace d'un quart de seconde. Mais non. Eth n'a jamais voulu de l'Amérique comme d'un rêve d'enfant, non, jamais, pourtant, quand la question fut posée, il ne pu s'empêcher de mentir afin de cacher la véritable raison de sa venue dans le pays. Le garçon fixa donc Seven dans les yeux, déblatérant alors son premier mensonge d'Américain, sans scrupule, il ouvrit la bouche afin de cracher son venin sur le visage de son amie
« Oui, on peut dire ça comme ça … Ce pays m'a longuement attiré, et il faut dire que New-York est magnifique … Sauf quand il pleut et qu'on n'a pas de parapluie … » finit-il de dire en gloussant bêtement. Eth ne semblait pas du tout embêté par le fait de mentir à la personne qui allait lui ouvrir les portes de son premier logement à New-York, monstrueusement égoïste, il ne se voyait pas dire qu'en réalité il avait pris l'argent de sa sœur en lui faisant une promesse qu'il ne tiendra jamais afin de quitter la France qu'il détestait depuis un moment.

Finalement, le serveur arriva, posa le Latte Machiatto de Seven ainsi que le café de Eth sur la table avant de s'éclipser de nouveau derrière le comptoirs. Les deux amis s'échangèrent un regard, puis le jeune homme saisit le café avec ses deux mains afin de les réchauffer un peu et boire une gorgé de celui-ci, une gorgé qui le fit légèrement frissonné. Dans le fond, ce n'était pas contre Seven qu'il mentait, mais contre lui-même, il se protégeait, ne se montrait pas vulnérable aux yeux de son amie et préférait faire l'homme fort et sûr de lui pour donner une bonne image de sa personne. La veille, il avait pourtant avoué à Kathleen la véritable raison de sa venue, mais leur complicité n'avait pas d'égale avec celle qu'il entretenait avec Seven, une marge les séparait, et c'était flagrant.
« Oui … Enfin, une amie pour le moment, une vieille connaissance, un peu comme toi … - laissa t-il entendre avec un léger rire – elle s'appelle Kathleen Jones, ça te dit quelque chose ? » Après tout, se disait-il, si comme à Paris tout le monde se connaît un peu, il y avait des chances pour que Seven connaisse Kathleen, il restait à espérer que, dans l'hypothèse où elles se connaissaient, qu'elles aient une bonne relation …
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyDim 13 Mai - 18:04

Les Latte de Starbucks n'étaient pas les meilleurs au monde. Pour avoir pu goûter les Latte du Tim Horton's, il y avait pas photos. J'étais vite distraite tant que je n'avais pas bu mon café. De toute façon, avec la soirée d'hier, j'avais tout de même une mine bien fatiguée. Il répondit très rapidement à ma question, déclarant que les Etats Unis l'avait toujours attiré. C'était plutôt une blague son coup du rêve américain, le rêve américain ça marchait avant. Aujourd'hui, le rêve américain dépends du fait que tu sois né riche à millions. Nous qui sommes nés dans la West, nous sommes méprisés par la première petite idiote avec une paire de talons. A croire que plus elles achètent moins elles ont de neurones ces pouffes. Je haussais les épaules de ma propre réflexions, reportant mon attentions sur Ethel. Il se réchauffa avec le café, le prenant à deux mains, il ne faisait pourtant pas si froid que ça. Je regardais dehors, avec la même envie de fumer une cigarette sur le balcon du loft entre les plantes , quand les beaux jours revenaient, les gars et moi retournions sur la balcon très large ou nous avions installé une sorte de jungle. Une vieille connaissance ? je levais les yeux, intéressée, il y avait peu de chance que je connaisse la personne en question, mais j'avais quand même posé la question histoire de savoir s'il logeait dans un hôtel miteux ou chez quelqu'un qu'il connaissait. Je bus une gorgée de mon Latte distraite, par sa réponse. Kathleen ... non, je connaissais pas cette fille. Peut être de la East. Je hochais la tête de gauche à droite, signe que je ne connaissais pas cette fille. « Non, je ne la connais pas du tout. Ca ne me dis rien tout du moins. » Déclarais-je entre deux gorgées. N'empêche, c'était bizarre cette espèce de retrouvailles. Non pas que cela ne me fasse pas plaisir au contraire, j'étais toujours très contente de retrouver quelqu'un que j'avais rencontré lors de mes voyages en Europe. J'ai toujours beaucoup aimé l'Europe, c'était tellement différent des Etats Unis. J'aime New York, c'est ma ville, mais franchement, les petites villes françaises valent vraiment le détour.

Je piquais dans mon Pancake, j'avais définitivement la dalle. « Attends deux minutes je reviens. » Je me levais, laissait mes affaires et allait me chercher de quoi manger. Je commandais un muffin aux myrtilles. On me demandait souvent où passait tout ce que je bouffais, parce que je mangeais vraiment beaucoup. Je donnais mon billet de cinq dollars et retournais m’assoit. Je fais du sport, mais chez moi. J'aime pas trop les salles de sport. Alors je fais de la Zumba. Ouais, foutez vous de ma gueule, mais quand on s'y met à fond, ça fait transpire ce truc. « Excuse moi. Dis moi, tu loges dans un hôtel miteux ou chez ta copine là ? Kathleen ? C'est ça ? » Le plus dur quand on arrive à New York c'est de trouver quelque part pour dormir et se loger. Ouais.

[hrp : désolée pour le retard, j'ai été un peu débordée avec mes études ]
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyMer 23 Mai - 11:39

C'est fou le bruit qu'il peut y avoir dans un café quand on y fait attention, pas vrai ? A vrai dire, Eth n'a jamais prêté attention à l'entourage qu'il pouvait avoir dans ce genre d'endroit, mais un café peut rester bruyant si nous sommes à l'écoute du moindre bruit qui pourrait surgir. Pourtant, avec Seven, il restait concentrer sur la conversation tout en pouvant percevoir d'autres discussions, c'était maladive chez lui depuis qu'il était à New York, le moindre bruit l'intriguait, qui plus est, il avait la chance de pouvoir parler leur langue couramment. L'anglais n'est pas une chose que l'on peut apprendre aisément, sauf quand on est doué de nature pour les langues vivantes, mais ça lui faisait bizarre de parler une autre langue, et il s'en rendit compte quand son amie s'éclipsa un léger laps de temps après lui avoir confié qu'elle ne connaissait pas Kath. Le jeune parisien n'était pas vraiment étonné, New York c'est grand comme ville, n'est-ce-pas ? Et donc, durant que Seven partit commander quelque chose à manger, il se mit à réfléchir, encore et toujours, à la manière dont il allait lui confier qu'il avait besoin d'un logement, sans se douter que la solution viendrait d'elle-même, c'est vrai quoi, le hasard fait bien les choses par moment … Et il n'était pas moins fier de voir Seven revenir à la table tandis qu'il buvait encore un peu de son café, les frissons n'étaient plus qu'un lointain souvenir désormais, il n'avait plus cette sensation qui lui donnait tant froid que cela. Il afficha un léger sourire amical à son amie, lui laissant encore la parole, pas très bavard l'étranger aujourd'hui, non, vraiment pas bavard ce jour-ci.

La réponse à sa question vint à lui comme une blanche colombe viendrait à une âme pure afin de lui livrer un heureux message, et même si sa question fit quelque peu rire notre petit français, son rire signifiait pour lui une sorte de victoire, elle venait de lui tendre la perche, et il n'avait plus qu'à la saisir pour de bon. Ethelbert prit un air gêné, un vrai air gêné, il ne simulait pas, car la question était tout de même posée d'une manière assez « vulgaire », sans pour autant être déplaisante, il fixa son café, puis les yeux de Seven avant de lui répondre un peu timidement … Oh oui, qu'il est timide le bougre, ou pas …
« Eh bien, disons que j'ai eu la chance de trouver un hôtel hier soir, sauf qu'en réalité le prix de la nuit était hors de prix et que j'ai simplement accepté pour ne pas finir dehors. Donc, disons que … Maintenant il me reste juste à acheter un carton, un lampe torche, un bocal et partir faire la manche sur le pallier du café. » C'était si bien dit venant d'un menteur qui ne faisait que dire la vérité, le pauvre passait pour un personnage des Misérables, enfin, en l'occurrence il correspondait plus au titre qu'à un des personnages, oui, Misérable définissait un peu ce qu'il était maintenant. Toussant un peu, il reprit attifement la parole afin de rectifier un détail qui lui tenait à cœur tout de même … « Enfin, il me reste de l'argent, assez pour tenir un petit mois dans un … comment t'as dis déjà .. ? Ah oui, un hôtel miteux … » Oui, un hôtel où il ne voulait pas crécher pour la simple et bonne raison que son amour propre primait sur le tout, tout en sachant que le stéréotipe du clochard n'était qu'un outil pour renverser la situation à son avantage, jamais il n'irait faire la manche …

Détournant le regard, puis laissant sa tête tombé un peu en avant, un sourire con sur le visage, du genre j'ai quelque chose à te demander mais c'est délicat, vous voyez le genre ? Non ? Imaginez vous un abruti sans foyer qui cherche à demander avec délicatesse à une vieille connaissance si elle peut l'héberger et vous aurez l'image en tête .. Oh, suis-je bête, c'est déjà le cas. Ethelbert passa sa main derrière sa tête, ébouriffant ses cheveux et reprit la parole en fixant de nouveau Seven, « Je sais que tu dois déjà avoir ta vie, et je veux pas t'obliger, ni même te faire pitié … Mais je voulais savoir en réalité si tu pouvais m'héberger quelque temps, enfin … Juste le temps de m'établir ici, trouver un boulot et avoir mon propre appart' … Je te rembourserais une fois tout ça fait … Donc, s'il te plait, c'est possible que tu me rendes ce service … ? » Il n'était pas vraiment sur de la réaction de Seven, peut être le prendrait-elle mal et se dirait qu'il venait de l'utiliser, et c'était un peu le cas, mais ce n'était pas vraiment son choix à lui non plus, il avait besoin d'un toît, elle en avait un, il fallait que ce soit quelqu'un qu'il connaisse et il la connaît, fin de l'histoire …
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyVen 25 Mai - 23:38

Je sais pas. J'ai faim. J'ai vraiment très faim. Je m'attachais les cheveux. Je crois que la soirée d'hier m'a un peu creusé l'estomac malgré la mission que nous nous donné pour trouver de quoi manger. Vous me direz que c'était relativement simple, mais en réalité il fallait surtout que personne ne nous voit manger pour ne pas leur donner envie. Le loft était un vaste lieu d'amusement, et il ne fallait pas avoir peur de vivre en communauté. J'ai beaucoup de mal à m'imaginer vivre seule. Je regardas Ethelbert qui buvait son café tranquillement. Je le connais plutôt mal. Mais de toute façon, je me suis toujours bien mieux entendu avec les garçon je crois. Je regardais le jeune parisien, qui semblait plutôt bien s'acclimater à sa nouvelle vie New Yorkaise, ce qui était plutôt honorable, malgré le fait que New York et Paris était de grande ville, New York fonctionnait très différemment de New York. Et puis Paris avait une tout autre histoire. Bref, je continuais à manger. Quand je lui parlais de son logement, il me parla de son hôtel où il séjournait depuis peu. Je n'écoutais qu'à moitié, vous savez, question de rhétorique, c'est pas que je m'en fichais vu que j'avais posé la question, c'est juste que ça réponse traînait en longueur. Il eut un sourire un peu... bizarre.

Puis il plaida sa cause. Un sourire s'afficha sur mon visage. Je pris appui sur la table soudainement très intéressée par ce qu'il disait. Je regardais le parisien en face de moi. Mais vous savez, moi ça ne me dérange pas, mais évidemment, il y a quelques règles à respecter. Mais je l'écoutais, en effet j'avais une vie ici, des amis, un superbe loft qui pouvait avoir la prétention d'être unique. Il voulait vivre au loft... C'est Charlie qui allait être heureux. Je haussais les épaules et continuait de l'écouter buvant mon Latte distraite. Est ce que je pouvais vraiment le lui refuser ? C'était certainement pour cela qu'il avait repris contact avec mo. J'étais tiraillée, entre le coup de fils intéressé qu'il m'avait passé, cette rencontre n'était donc qu'une sorte de vaste manipulation. Mais en même temps ça allait amener de la vie au loft. « Ok. » Répondis-je de but an blanc. Je bus une gorgée de mon Latte, reposant le gobelet devenu mythique, qui ne connait pas : Starbucks. Mais bref. Je posais donc mon gobelet avec un large sourire. « Je vois pas de problèmes. Mais j’habite pas seule. Et le loft n'est jamais vraiment vide non plus. » Comment j'allais lui expliquer que Loft était mon lieu de vie, mais c'était LE lieu de vie. Celui du groupe , là ou faisait nos répèt, nos fêtes et c'était moi la chef de la tribu. C'était mon loft c'est mes règles. Chef lieu de la jeunesse comme je l'entends. « T'auras ta chambre, vu que c'est plutôt grand, et c'est chez moi, c'est mes règles, et y'en a pas des masses. Je vis avec Thomas, tu verras, il est cool. Tu dois te dire que j'ai vite dis oui, mais en même temps les hôtels miteux de New York c'est un peu l'angoisse. » Je pris mon gobelet. Et rebut une gorgée et terminait enfin mon muffin. Et je crois que j'étais enfin calée, mais dans deux heures, j'allais avoir faim. « Oui, et Un truc cool auss, c'est genre tu fais ce que tu veux, mas t'évites de nous mentir. Tu vas vivre chez moi. »
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyMer 13 Juin - 18:57

Il y avait une queue dans le café, ce n'était pas très courant dans les cafés de Paris, mais le jeune homme restait tout de même assez étonné, oui, le fait d'attendre une réponse faisait qu'il cherchait n'importe quoi à faire pour faire passer le temps, alors il comptait les clients qui attendaient, super le passe temps. Seven n'était pas une fille méchante, et c'était sans doute pour ça qu'il n'était pas vraiment angoissé par le temps d'attente, il se sentait plutôt à l'aise en face d'elle à vrai dire. L'écoutant répondre, un sourire revint sur le visage d'Eth, c'était bon, il avait enfin un toit pour dormir, c'était plus rassurant qu'un carton dans une rue. Il ria un peu aux remarques de son amie, cela ne le dérangeait pas que le loft ne soit presque jamais vide, et à l'entendre parler il n'y avait pas qu'elle et son ami qui y vivait, Seven représentait elle un accueil pour petit chiot adorable cherchant un logement ? Affaire à suivre ! Il la fixa dans les yeux, prenant appui de son coude sur la table afin de poser son menton sur la paume de sa main, « A t'entendre parler, on dirait qu'il y a de l'ambiance chez toi, c'est vraiment sympas de m'accepter chez toi, puis ... On risque de bien rire je pense ! » Oui, il n'avait jamais été vraiment délicat, puis il s'intègre toujours assez bien à des groupes d'individus, vivre à plusieurs dans un Loft c'est un peu comme former une famille, il y a des querelles, des coups de tête, des fous rires, enfin bref, toute une vie quoi. Il ne savait pas si il allait y être longtemps, mais il n'aurait pas de ma à s'y sentir bien.

« Mentir …? » le savait-elle ? L'avait-elle compris qu'il n'avait fait que l'inviter par intérêt de base ? Sans doute, il garda néanmoins son sourire, elle pouvait aussi très bien parler du futur, m'enfin, cela ne le tracassait pas vraiment. Il reprit assez rapidement la parole pour faire perdurer la conversation sur ce sujet, enfin, pour le moment, « D'accord, il n'y a pas de problèmes Seven ! Et tu as des questions ? Enfin, si jamais tu veux des détails sur moi ... » Elle pouvait très bien avoir des questions à lui poser, sur sa personne, sur son mode de vie, ou même sur l'avenir qu'il voulait avoir ici.
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MessageSujet: Re: Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN }   Une grande première, un café à New-York { PV SEVEN } EmptyVen 13 Juil - 17:09

De l'ambiance au loft ? Avec Thomas, c'était plutôt un euphémisme, la seul chose qu'l était capable de faire à part foutre le bordel c'était dormir et faire le bébé. Donc de l'ambiance c'est sur. C'est un sanctuaire, une sorte d'endroit où rien ne nous est impossible. Il y avait de tout et nous acceptions tout et n'importe quoi, pourvu que ça nous apporte quelque chose de constructif. Je regardais Ethelbert, tout en restant silencieuse. il fallait que je m'occupe de lui faire un double de clefs, il s'occuperat de s'installer tout seul, je doutais qu'il est de très nombreuses affaires, de toute façon, qu'il ne s'inquiète pas, il y a déjà un lit et une armoire à lui de voir s'il veut rajouter un canapé, des meubles, car cet immense hanger que nous recyclé en loft était définitivement bourré de place, mais nous avions réussit à bien nous en sortir, et il ne faisait pas vide, au contraire même. Mais je m'embarque encore une fois dans un récit sans fin sur mon loft et ce que je peux vivre dedans. Je regardais Ethelbert. « Tu pourras toujours parler de toi avec Thomas. Je te filerais une clef une fois que tu seras arrivé au loft. » Je terminais mon café d'une seule traite faisant une grimace, il était encore très chaud, et moi j'avais envie de Latte, alors vous savez moi et la patience c'est pas trop mon fort. Je regardais ailleurs. Je sortais un papier de mon sac et un crayon, pour lui noter l'adresse. Je supposais qu'il avait surtout besoin d'aller régler la note de l'hôtel.

« Je n'ai pas de questions en particuliers. Tu fais ce que tu veux. »J'écrivas l'adresse de notre loft dans l'Upper East Side et tendait le bout de papier à Ethel. N'empêche. Je me demande vraiment ce qu'il fait ici, à New York. Les Parisiens sont pourtant tellement attachés à leur ville. Fiers d'être parisien qu'ils disaient. Moi au contraire, j'étais fière d'être New Yorkaise. Je haussais les épaules et posait le papier en face de son café. Je regardais mon portable. « Et evites de t'attirer des ennuis, je m'occupe pas des ennuis des autres. »
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