♣ HEP HEP HONEY ; REFILE MOI TES PAPIERS AVANT DE VOULOIR ENTRER DANS LA COUR DES GRANDS

Hey Honey, Bienvenue à Manhattan j'aimerais bien savoir comment tu t'appelles Leeroy Camille Jenkins ; c'est mignon mais tes amis doivent bien te donner un petit surnom, le tien c'est quoi L.J. Cam ; Très bien, allez Honey tu m'as l'air jeune dis moi tu as quel âge ? 23 ans. Tu es née où d'ailleurs, comme ça je pourrais te le fêter si je n'oublie pas 1988 New-York. Dis moi, tu es dans quel groupe ? UPPER WEST SIDE. Et ton jolie personnage tu l'as eus d'où ? INVENTE.

« Seul l'avenir me dira ce que je serais dans 10 ans ; »

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Une enfance des plus banales comme n’importe quel jeune des coins défavorisés de New-York à pu vivre. Je suis né il y a de cela 23 ans maintenant, dans un petit coin délabré de la Grosse Pomme. Mes parents ? Que dire sur eux ? Pas grand-chose. Je n’ai jamais véritablement connu mon père. Après avoir donné à ma mère deux enfants, une sœur plus jeune de trois ans, il s’était envolé Dieu sait où et nous avait complètement chassé de sa mémoire et de sa vie. De ce fait, je n’ai jamais connu mon géniteur. Comment pouvais-je en avoir des souvenirs a à peine trois ans ? Ma mère quand à elle travaillait comme une furie toute la journée, ne dormant que trois à quatre heures par nuit, serveuse dans un restaurant minable du coin et barmaid dans un bar encore plus crasseux la nuit, tout ça pour une paye à peine capable de payer le loyer du taudis dans lequel nous vivions.
J’ai donc passé une enfance dans ce genre de monde, ne connaissant rien d’autre que cette petite misère, voyant ma mère paraître trente ans de plus à cause de cette surdose de travail qu’elle accumulait pour nous élever et nous faire vivre. Chose que je ne pouvais que remercier et que je fis d’une façon que peut de monde comprenait dans mon quartier : en étudiant. Je savais que si je réussissais, je pouvais alors sortir ma mère et ma sœur de cette vie qui ne leur convenait pas et permettre à cette dernière de se reposer totalement. C’est pourquoi je me mis à étudier, réussissant correctement chaque cycle scolaire avant d’obtenir une bourse d’étude pour une importante université de Californie. Je ne pouvais pas prétendre obtenir des écoles comme Yales ou autre, beaucoup trop Uppé pour moi.

C’est alors que je quittais New-York à mes 18 ans, laissant derrière moi ma mère et ma sœur, permettant alors à ma mère de travailler moins, ayant qu’une bouche à nourrir, et refusant de sa part de l’argent qui me permettait de m’aider dans cette nouvelle ville. Je ne voulais pas qu’elle se prenne la tête et qu’elle se ruine pour moi. Elle me savait débrouillard et savait alors que je m’en sortirais, comme toujours. Et ce fut le cas. Je passais alors trois belles années en Californie, à étudier et à commencer à sortir en faisant la fête, chose qui me couta une année que je du retaper, oubliant parfois de prendre de sérieuses nouvelles de ma mère et de ma sœur. Chose que je regrette encore aujourd’hui car je ne fus pas présent au chevet de ma mère lorsque cette dernière, fatigué par ses années de dure labeur et par cette maladie incurable qu’elle avait contracté, ferma les yeux et se laissa aller dans l’autre monde. Une maladie dont je n’étais pas au courant et qui me fut révélé lorsque ma sœur m’annonça par téléphone la disparition de notre mère. M’en voulant inexorablement pour tout ça, j’avais alors quitté la Californie et abandonné mes études pour revenir à la Grande Pomme, pleurer ma mère lors de son enterrement et prendre le relais dans la famille. Permettre à ma sœur de vivre convenablement et de poursuivre ses études sans avoir besoin de travailler. La relation entre nous deux était des plus froides. Elle m’en voulait d’être parti et de les avoir laissées seules. Elle m’en voulait de mon éloignement. Mais elle était heureuse de mon retour. Seulement, trop fière pour l’avouer, elle laissait alors plutôt la colère l’envahir et devenir notre relation de base. Je ne disais rien, je la comprenais entièrement. Elle était ma petite sœur et je ne pouvais que la comprendre.

Voulant alors pouvoir nous faire de l’argent rapidement et facilement, et ainsi quitter cet endroit délabré pour quelque chose d’un peu mieux, j’avais erré dans les rues de New-York à la recherche d’un emploi. Mais rien ne me convenait. Tout était dégoutant et mal payé. Commençant à désespéré, je m’étais engueulé avec une personne dans un bar avant que cela ne tourne à une bagarre générale. Dans un sens, cela me fit extrêmement de bien de pouvoir me défouler de la sorte. J’avais pris de nombreux coups, certes, et j’étais bien blessé, mais toujours debout, fier, le sourire aux lèvres. Je m’étais complètement laissé aller et avait utilisé la colère et la rage que je gardais intérieurement. C’est alors qu’une personne qui était resté en retrait ce leva et, tout en s’approchant de moi, me lança un sourire avant de venir me murmurer au creux de l’oreille « Je crois avoir un boulot pour toi si tu es partant » Curieux, je me lançais donc à sa suite et découvris un monde dont je ne soupçonnais pas vraiment l’existence. Du moins, dont je ne m’intéressais guère. Chaque combat clandestin remporté pouvait me rapporter au minimum plus de 2000$ et cela variait de manière croissante suivant les soirs. De l’argent facile ? Oui, et cela me convenait. C’est ainsi que je me lançais dans ce milieu, gagnant de temps en temps, perdant aussi parfois, m’améliorant au file des soirs qui passaient et travaillant même durant les journées pour le compte de quelques mafieux du coin. Je n’étais qu’un larbin à leur soldes et ne faisais pas partis de la « famille » mais cela m’importait peu. Tout ce qui comptait pour moi était l’argent que j’amassais pour ma famille, pour ma sœur, pour ses études et pour le petit studio que j’avais réussi à trouver dans un coin plus propre et plus calme. Voila maintenant deux ans que je vis dans ce monde. Un monde rude et dur mais qui toutefois, n’est pas prêt de changer…

« m'approches pas de trop près, tu pourrais le regrettais ; »

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Leeroy est une interrogation à lui tout seul. Une merveille de complexité comme le monde en a rarement fait. A la fois blanc et noir, on ne sait jamais réellement sur quel pied danser avec lui. Mais cela n’a pas toujours était comme ça. Il y a encore quelques années, on pouvait voir Leeroy comme une personne gentille, serviable, avec le cœur sur la main. Toujours prêt à aider son prochain. Souriant, chaleureux, aimable. Il était tout ce qu’on pouvait aimer et se faisait rapidement des amis. Il n’avait pas vraiment besoin de parler pour cela. Ce caractère, lié à son charme naturel suffisait à l’intégrer n’importe où. Cependant, voila qu’un drame tragique le toucha de plein cœur alors qu’il n’avait que 20 ans. Étudiant à Los Angeles, il apprit que sa mère, atteinte d’une grave maladie, quitta se monde et il du revenir sur New-York, sans diplôme, pour élever et subvenir aux besoins de sa jeune sœur. Depuis ce drame, son caractère changea du tout au tout. Il enfoui l’être qu’il était derrière une carapace des plus solides. Un être froid, distant, totalement mystérieux. Un être qui fait froid dans le dos de part son regard des plus glaciales qui reste tout de même intriguant et inquiétant. Sarcastique à souhait quand cela lui prend, il n’hésite pas à dire ce qu’il pense et à rejeté le monde l’entourant, ne faisant confiance à personne. Un être totalement différent de ce qu’il était. Une carapace solide que personne na su percer depuis deux ans maintenant, qui cache son véritable caractère et qui l’aide à avancer dans ce monde, dans cette voie qu’il s’est choisit, la facilité…

« l'habit ne fait pas le moine, j'en suis la preuve ; »

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Coté physique, Leeroy n’a rien à envier à d’autre. Bien au contraire. Assez grand et élancé, il mesure dans le mètre quatre vingt cinq pour un poids d’environ quatre vingt kilos, plus ou moins. Bien bâtit, avec une musculature bien dessinée, il possède un corps de rêve qui attire le regard et fait envier bon nombre de gens. Il la toujours su et toujours vu. Nombreux étaient les regards se retournant sur son passage. D’ailleurs, cela ne le dérangeait pas vraiment de ce faire reluquer et de voir avec quel appétit certaines filles le dévorait. Cela l’amusait même. Sur ce corps repose un visage d’ange. Une gueule d’ange comme certain aimé à l’appeler. Un visage doux aux traits fins derrière lequel on ne pouvait voir que bonté et gentillesse. Impossible d’imaginer voir une si belle gueule travailler dans un milieu rempli de corruption et de vice. Le regard intriguant avec des prunelles claires dans des tons bleuté, il est ce qu’on peut communément appeler un beau gosse. Cependant, il n’est pas du genre à jouer de son physique comme beaucoup d’autres feraient. Il reste dans son coin et essaye de se fondre dans la masse en s’habillant de manière assez simple, surtout au vu du budget dont il dispose.

« Moi aussi j'ai une vie ; »

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On m'appelle ... ou X, et j'ai la vingtaine printemps. D'ailleurs, j'habite à FRANCE. Comme vous pouvez le voir, j'ai choisi ANDREW COOPER. Vous allez devoir me supporter 4 jours par semaine. Tout ça à cause d'un retour. Pour terminer, ces admins là m'ont demandé un code, s'il ne sont pas sadique eux, moi je ne sais pas. Il me semble que c'est Ok by Serena. En plus de ça, ils me demandent de créditer mes icons et mon magnifique avatar CITYLOVE & OCEAN LOUNGE. J'suis canon dessus, hein ? Attention Manhattan je suis là pour le meilleur et surtout pour le pire.