♣ HEP HEP HONEY ; REFILE MOI TES PAPIERS AVANT DE VOULOIR ENTRER DANS LA COUR DES GRANDS

Hey Honey, Bienvenue à Manhattan j'aimerais bien savoir comment tu t'appelles Summer Hayley McQueen ; c'est mignon mais tes amis doivent bien te donner un petit surnom, le tien c'est quoi ? Sum, le plus souvent. Très bien, allez Honey tu m'as l'air jeune dis moi tu as quel âge ? 18 ans. Tu es née où d'ailleurs, comme ça je pourrais te le fêter si je n'oublie pas 24 aout 1992 Londres. Dis moi, tu es dans quel groupe ? UPPER EAST SIDE Et ton jolie personnage tu l'as eus d'où ? SCENARIO .

« Seul l'avenir me dira ce que je serais dans 10 ans ; »

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Je suis née un matin d’été, le 24 aout, très vite suivie de ma sœur jumelle, Phoenix. A l’époque, nous habitions encore à Londres, où ma mère avait vécu en temps que fille de bonne famille fortunée qui reste accrochée à ses origines. Mon père, lui, était un étranger tout droit venu de New York, la ville qui n’avait eu de cesse de me faire rêver quand j’étais gamine. J’avais qu’une envie, y aller à tout prix. J’ai vécu une enfance plutôt paisible, recevant une éducation solide, me montrant tantôt studieuse et réceptive lorsque j’étais intéressée, tantôt indisciplinée et dissipée lorsque je n’en avais clairement rien à faire. Nous formions une famille plutôt unie tous les cinq, puisqu’un grand frère adopté vint bientôt agrandir les rangs de notre famille. Bref, j’ai eu une vie quasi idyllique jusqu’à mes quatorze ans : fringues à la mode, école bien cotée, des activités extra scolaires, des amies avec lesquelles jouer les commères, bref, la vie rêvée de toute ado de 14 ans.

Mais tout à basculé le jour où ma mère est décédée. Les choses ont beaucoup changé depuis ce jour. La mort de ma mère n’a fait qu’accentuer le caractère bien trempé que j’avais déjà jusqu’à ce jour. J’ai était séparée de Phoenix pour la première fois suite au décès de ma mère lorsque celle-ci a décidé de vivre dans la villa de nos grands parents, alors que Darcy et moi restions chez notre père, dans la villa familiale. Nous avions des caractères tour à tour complètement opposés, et complètement complémentaires d’autres fois. Ce qui fait que la maison était parfois un vrai champ de mines, et seul Darcy arrivait à calmer les tensions qui nous agitaient. On a souvent été en compétition l’une par rapport à l’autre pendant toutes ces années, à propos de l’école, des amies, de ce que nos parents adoraient appeler « l’allure », bref, un rien pouvait provoquer chez nous un furieux esprit de compétition, où tous les coups bas étaient évidemment permis. C’est peut être la que j’ai commencé à développer ce côté de ma personnalité…En tout cas, les choses ont changé lorsqu’elle est revenue au manoir de mon père. Sans qu’on arrive à s’expliquer pourquoi, on passait désormais une grande majorité de notre temps ensemble, et là où avant on se tirait dans les pattes, on s’aidait à présent. C’est à cette époque que nous sommes devenues aussi complices et proches. Je crois que j’avais peur de la voir disparaître aussi subitement que ma mère, et je pense qu’il en était de même pour elle. Mais bien sûr, ni elle ni moi n’étions prêtes à nous l’avouer à voix haute. Depuis ce jour, nous avons prit l’habitude d’être très proches, formant pratiquement une seule et même personne certaines fois, partageant absolument tout…et oui, je veux bien dire tout.

Bref, les années ont continué à passer, sans que l’on ne puisse rien y faire, sans que la Terre ne cesse de tourner à cause de l’absence de notre mère. J’ai grandi, affirmant mon caractère, devenant ce que mon père adorait appelé une « belle plante au caractère de feu ». Je me montrais studieuse en cours, parce que je savais que ca aurait fait la fierté de ma mère, alors je m’investissais courageusement. Je voulais d’ailleurs devenir journaliste, suivant ses traces. Puis à la veille de nos 18 ans, nous avons suivi notre père, ici à New York. Je savais que j’aimerais cette ville, et je n’ai pas été déçue de venir m’y installer. Au contraire, j’y ai vite pris mes marques, comme vous ne tarderez sans doute pas à le constater.

« M'approches pas de trop près, tu pourrais le regrettais ; »

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Je pense que dire que je suis une McQueen suffirait à décrire mon caractère. En temps normal, je suis plutôt quelqu’un calme, d’intelligent et de réfléchi. J’ai hérité de ma mère ma franchise et ma spontanéité, tout comme mon côté incroyablement têtu, et lorsque j’ai une idée en tête, vous pouvez toujours essayer de me faire changer d’avis, mais tout ce que vous ferez, c’est perdre votre temps. En vain. Je suppose que vous dire que je fais tout, absolument tout même, pour arriver à mes fins ne vous étonnera pas non plus, n’est ce pas ? Oui, c’est vrai, je suis manipulatrice, sournoise, et calculatrice, et alors ? J’obtiens toujours ce que je veux…de grès ou de force. Je me soumets très mal à l’autorité, et on peut facilement me qualifier de rebelle. A quoi sert le règlement si ce n’est à être transgressé ? Je déteste me faire marcher sur les pieds, et si jamais l’idée vous en traversait l’esprit, vous le regretteriez amèrement. Et c’est une promesse. Lorsque je déteste quelqu’un, ce n’est pas à moitié, et je ne m’en cacherais pas : regards noirs, coups bas, mesquineries, pics et sarcasmes seront de la partie. Au contraire, si vous faites partis de mes amis, je saurais me montrer attentive, prévenante, à l’écoute, et fidèle. Lorsque je tiens à quelqu’un, en toute amitié, ou plus, là non plus ce n’est pas à moitié. J’ai des tendances surprotectrices envers ces personnes la. Je suis avec ces mêmes personnes une vraie bout en train, fêtarde et qui adore mettre l’ambiance partout où elle passe. J’ai développé assez jeune un gout prononcé pour le sport, où j’évacue une grande partie de la pression ressentie à droite à gauche. Ainsi, je fais de la danse depuis mon plus jeune âge, et j’ai développé une souplesse en conséquent. Je suis également une mordue de course, et je fais des footings plusieurs fois par semaine.

« L'habit ne fait pas le moine, j'en suis la preuve ; »

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Comme a prit l'habitude de m'appeler mon père, je suis ce que l'on peut appeler "une belle plante". Plutôt grande, sans atteindre des sommets, la taille élancée et musclée par des années de footing et de danse, des courbes avantageuses, de longs cheveux bruns ondulés, des yeux bleus pétillants de vie, un sourire charmeur. Voilà comment l'on peut me décrire. J'ai un physique plutôt avantageux, j'en ai conscience, et je sais le mettre en valeur, l'utiliser à mes fins, même si j'utilise moins mon corps pour arriver à obtenir ce que je veux que Phœnix. Je ne suis pas du genre à me maquiller comme une voiture volée, et je passe très peu de temps dans la salle de bain à admirer mon reflet dans une glace. Niveau maquillage, je me contente de très peu : un trait d'eye liner et du mascara noir pour mettre mes yeux en valeur font parfaitement l'affaire, tout comme un peu de rouge à lèvres. Vous voyez, à peine dix minutes face au miroir. Au niveau vestimentaire, je ne suis pas tant portée sur les marques que ma jumelle. A vrai dire, j'en ai même carrément rien à faire. Je porte tour à tour des pantalons, des shorts, mes préférés, des jupes ou des robes, avec des chemisiers, des top et des vestes, bref un look assez changeant. Et pour finir, je m'adapte aussi bien à de confortables baskets qu'a des ballerines plates ou des escarpins insolemment hauts, dans lesquels je me sens parfaitement à l'aise.

« Moi aussi j'ai une vie ; »

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On m'appelle Mél, et j'ai 21 printemps. D'ailleurs, j'habite en Moselle . Comme vous pouvez le voir, j'ai choisi Adriana Lima. Vous allez devoir me supporter 6 à 7 jours par semaine. Tout ça à cause de Phoenix McQueen. Pour terminer, ces admins là m'ont demandé un code, s'ils ne sont pas sadique eux, moi je ne sais pas. Il me semble que c'est validé par Blubby. En plus de ça, ils me demandent de créditer mes icons et mon magnifique avatar plusieurs copyright différents. J'suis canon dessus, hein ? Attention Manhattan je suis là pour le meilleur et surtout pour le pire.