JEREMIAH Ϟ et si on rejouait toutes les scènes.

lullaby et jeremiah

02 A.M. I need a dollar, a dollar is what I need... un soupir. I need a dollar, a dollar is what I need... plus de réaction. I need a dollar, a dollar is what I need... un grognement. qui était le connard qui m’appelait à deux heures du mat'? Voulait il que je le tue ? Peut être bien. Je finis par m’emparer du téléphone qui ne cessait de rejouer toujours et encore la même musique. Allô.. déclarai je de ma voix encore toute endormie. Pareil à celle d'un camionneur. ou peut être pire. Me relevant peu à peu, j'avais encore les nombreuses heures de décalage du dernier voyage que j'avais entrepris pour rejoindre ma mère en Afrique, bon le soucis elle avait du retourner en urgence à New York, vu qu'elle était tombée malade comme une chien. J'étais rester une semaine, ni plus ni moins. ET ça m'avait suffisament suffit. J'étais rentrée la maison était comme Badgad, dans la guerre qui avait opposer Nicho' et toute la bande d'éclopés qui me sert de famille. Il avait perdu les papier du divorce. Donc j'étais toujours et encore marié à Nicholas. Le barmaid d'un bar dans new york m'avait téléphone parce que mon frangin était complètement ivre dans son bar. Et il fallait bien sûr que je vienne le chercher. Je grognais une deuxième fois, je devrais lui mettre une laisse à Thybalt, je l'accrocherai dans le jardin avec de l'eau et des croquettes pour chien et puis j'aurais enfin ma paix! Disant au barmaid que j'arrivais dans dix minutes, je me lavai. Tout en raccrochant le téléphone, j'enfilais un jean, et un vieux t-shirt, avec un imprimé des beattles dessus. Passant ma main dans mes cheveux, je jugeais qu'ils étaient coiffés. Un trait de crayon sous les yeux, un coup de parfum au thé vert. et basta, j'étais prête j'allais pas à un défilé de mode. J'allais juste chercher mon adorable frère dans un bar. Le pire dans cette histoire c'était lui le plus vieux dans cette histoire.

Je pris mes clés de voiture et mon sac, sortant de la maison en fermant la porte à clé. Je me dirigeai à toute allure vers ma mini cooper. J'aurais mieux fais de pas décrocher et de le laisser mourir dans son bar. je soupirais encore une nouvelle fois. Démarrant la voiture, changeant la musique, jusqu’à tomber sur la chanson . Dix minutes après j'arrivais devant le bar ou il y avait pas mal de jeunes, surtout des mecs bien évidement. Je sortit de la voiture, mettant dans la poche de ma veste en cuir téléphone, carte bleu parce que fallait bien que quelqu'un paie ses conso' à l'autre nigo ! J'entrai enfin dans le bar, me faisant siffler par un ou deux mecs. Ce bar me rappelait des mauvais souvenirs. Jeremiah venait souvent avec ses potes ici, quand je sortais encore avec lui. Et c'est ici aussi que je m'étais prise la pire cuite de ma vie. Ils font un punch assez extraordinaire. Mais pas le temps de blablater très longtemps sur la couleur du punch que je buvais. J'observais la salle, pour tenter d'apercevoir mon frère . LUUUUUULLLYYYYYYYYYY! ah.. C'est lui qui m'a trouver. Ca va je pensais qu'il était dans un pire état là il peut encore marcher. Ou p'tre que je me suis tromper. Il trébuchait et se rattrapa à moi. Okayy.. Oh ma p'tite Lully, ça va bien j'espère.. Tu sais tu m'as manquer.. bizarrement toi ce soir tu m'as pas manqué. Il finit par lâcher un p'tit rire sans raison. Assieds toi là, je reviens. Il me regardait avec des yeux de merlans frits. J'oubliais que je parlais à un gars ivre mort. Je l'aida à s'installer, le pointant du doigt comme dès que j'engueulais mon chien après qu'il ait fait une connerie. Pas bouger !, lui fis je en le menaçant comme s'il avait quatre ans. Me dirigeant vers le bar, en marchant à reculons histoire d'avoir mon frère en vue.e fonçai dans quelqu'un. Oups, désolé. Pas grave petite Lullaby. Me retournant j’aperçus le type le plus adorable du monde. Mais le problème c'était le meilleur pote à mon ex petit ami. D'ou le fait que je ne lui parle plus. Je lui sautais dans les bras. Ca faisait un bail que t'était plus parmis nous ma belle. Depuis que t'est plus avec Jeremiah. Je finis par hausser les épaules. Chris, alors ces bières sont où ? Je me figeai peut être que si je ne bougeai pas il ne m'appercevrai pas et je pourrais disparaître. Mais soyons réaliste. C'est que dans les fims ça. Il était bien là, après plus d'un an et demi sans l'avoir même croiser. Jeremiah Luckaël Fitzgerald. Ou sinon le dernier mec de qui j'étais vraiment amoureuse. Et qui avait brisé mon coeur ou plutôt piétiner. je déteste les paris. J'avoue, il était toujours aussi mignon mais si j'avais su, je ne serais surement pas sorti avec lui.

Salut, balançais je le plus froidement possible.

Bonsoir chers auditeurs. Vous écoutez la hitlist sur les ondes du KZONE... Je tapai le réveil matin en me frottant les paupières alors qu'une chanson de ce connard de Bruno Mars commençait à la radio. J'en étais en fait jaloux. Lui ce mec qui écrivait des chansons qui touchaient à tous les coups le coeur de ses dames. Tellement faux cul... --' Bref. Il était 22h et je me réveillai en ce vendredi soir. J'avais passé la journée à l'université pour mes cours de littérature et philosophie qui me demandait beaucoup d'effort même si je comprenais plus facilement que la moitié de la classe... D'ailleurs selon le prof' je me sous estimais constamment. Hors, je ne le voyais aucunement de cette manière.. Je donnais ce que je voulais bien donner c'est tout. Et enfin j'étais arrivé dans mon appart dans les alentours du trois heures dans l'après-midi. Et je m'étais immédiatement couché car j'étais épuisé. J'avais mis un cadran car nous étions quand même vendredi hein! Et comme de fait, en jetant un regard dans ma boite de réception, j'avais reçu un sms d'un de mes amis qui me proposait de nous rejoindre dans notre bar habituel. C'était étrange à dire de cette manière là... Mais ce bar était loin d'être un boite de nuit. C'était un endroit qui acceuillait des gens..comme moi si on veut. Moi et mes potes aimions venir dans cet endroit car il y avait des tables de poker au sous-sol, dont peu de monde en connaissait l'existence. Mais ce soir, c'était vraiment un petite soirée entre mecs autour de (plusieurs!) pichets de bières. Je me levai et filai sous la douche. Je coiffai mes cheveux mouillés avec un peu de gel, enfilai un cardigan noir rayé gris avec des jeans noirs également. Je verrouillai mon appartement avant de descendre les marches en coinçant mes mains dans les poches de mon manteau en raison du vent frisquet de décembre qui soufflait dans l'air.

Le bar était à une quinzaine de minutes de chez moi si je marchais à une bonne vitesse. J'arrivais vers 23h10 au bar, et j'étais heureux d'entrer au chaud. Je trouvai facilement les mecs à notre table habituel près du bar et près de l'entrée. Ça faisait un petit bout de temps que je n'avais pas vu mes amis , du moins ceux qui était autour de cette table. À l'exception peut être de quelques uns. Je m'étais attablé avec eux joyeusement, heureux de partager nos histoires à nouveau. La mémoire pouvait nous jouer des tours sur pas mal de choses. J'avais oublié à quel point je m'amusait en leur compagnie. Nous en étions peut être à notre septième tournée de bières lorsque Chris était partie en direction du bar pour en commander une autre. En replongeant dans mes pensées, Je me demandais où j'avais bien pu avoir la tête ces derniers temps... En fait , si. Si je savais. Je n'arrêtais pas de penser à elle. La jolie brunette du nom de Lullaby. J'avais retourné la situation sous tout les angles et comme résultat final j'en étais venu à dire que c'était entièrement de ma faute. Seulement voilà, cette histoire datait d'un an. Au début j'avais appeler, sans me faire retourner les appels évidemment!, en espérant son pardon. Il s'avérait toutefois que ma petite Lully soit encore plus rancunière que moi-même. Je ne l'avais pas revue depuis ce jour, je n'avais plus entendu le son de sa voix unique qui semblait sans cesse imaginer les répliques qu'elle me dirait si jamais je venais à la recroiser un jour ou l'autre. Je chassai cette pensée. J'indiquai aux autres que j'allais voir ce qui prenait autant de temps à Chris. Chris, ça arrive ces bières? demandais je en arrivant près de lui. Il me regarda dans les yeux puis en suivant son regard insistant, je manquai de faire un arrêt cardiaque. Lullaby. prononçai je simplement en me rapprochant d'elle. Comprenant le message, Chris retourna à la table. Lullaby portait un simple t-shirt des BEATLES avec une paire de jeans, et n'était que légerement maquillé. Elle était magnifique. Toutefois je ressentais la tension ambiante. Je me souvenais de ce que je lui avais fait et réalisait que dans aucuns de mes scénarios je ne m'étais imaginer de la froideur ... De la colère ouais bien sur mais jamais autre chose. Quel con je suis..! Salut. Je la voyais qui fuyait mon regard et qui regrettait surement amèrement d'avoir mis le pied ici. Je sais qu'elle savait que je venais régulièrement ici..! Que fais tu ici? demandai je en réduisant encore la distance qui nous séparait. Je posai la question parce qu'il me semblait qu'il était normal de s'en informer. J'espèrais simplement qu'elle ne penserait pas que je ne voulais pas d'elle ou je ne sais quel autre truc de fille...

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« Il y a ceux qui s'aiment et ceux qui sont fait l'un pour l'autre. »

Lullaby, prononça-t-il, relevant la tête je le fixai pendant quelques longues seconde. Me faisant un signe de la main, Chris partit. Et je me retrouvai en face à face avec lui. qu'est ce que je pouvais lui dire. "Salut comment tu vas, alors t'a gagné combien pour avoir parier sur moi ?" parce que mine de rien, je m'étais toujours demandé pourquoi il avait fait ça. Tout ces souvenir me revenait comme un boomerang, qui nous revenait en pleine face. Salut, lui fis je simplement en fixant mes pieds, bon dieu. J'aurais mieux fais de laisser mon frère là où il était il se serait endormis et j'aurais eus ma paix. Je ne serais pas venus ici et je ne l'aurais pas recroiser. Il est vrai que depuis un an, j'évitais méthodiquement tout les endroits où il pouvait bien être. J'aurais dus penser à ne plus jamais remettre les pieds aussi. En même temps, je me disais qu'avec tous les endroits et tout le monde qu'il y avait. J'avais une chance sur un milliard de le recroiser. Je ne savais pas vraiment quoi dire. De temps à autre, je relevais la tête, enfonçant mes mains dans mon jean je cachai la bague que Nicholas m'avait acheter, lors de notre "mariage". Il devait aussi être au courant de cette évènement des plus bizarres, en même temps Gossip Girl avait prit un malin plaisir à tout balancer sur son blog, et même si les gens avaient beau répéter qu'ils n'en avaient rien à faire. Ils allaient souvent sur le blog pour pouvoir nourrir leur envie de commérage, de rumeurs.. Je ne comprenais pas moi même pourquoi je faisais pas il devait surement ne plus en avoir rien à faire de moi, j'avais tourné la page. Enfin c'est ce que je pensais. Parce que le revoir avait fait réapparaître tout un lot de sentiments que j'avais pris le plus grand soin d'enfouir au plus profond de moi même.

Que fais tu ici?, me demanda-t-il en se rapprochant de moi. La proximité entre lui et moi me mettait quelque peu mal à l'aise. Je passai nerveusement une main dans mes cheveux. J'viens chercher mon frère. fis je en haussant les épaules comme si c'était tout à fait normal, et me retournant pour voir si mon frère était encore assis, mais.. Le problème cette idiot avait disparus. Regardant un peu paniqué autour de moi. C'était la dernière fois que je lui rendait un service pareil. Il venait de disparaître pourtant y'avait rien de compliqué dans "Pas bouger" a croire que l'alcool lui réussissait vraiment pas. eh merde, marmonnai-je dans ma barbe. J'allais le tuer, c'était certain, je vous jure que demain matin j'allais le tuer il m'avait obliger à me lever pour venir le chercher. Et il se comportait comme un gamin de six ans, et encore il devait avoir quatre ans d'âge mentale. Je vous jure que j'allais lui mettre une laisse et j'allais l'accrocher un arbre, avec une gamelle d'eau ça lui apprendra. Lullly chériiiiiiiie. Je soupirai, il me donnait des envies de meurtre sérieusement qui m'avait foutu un frère pareil. Je le fixai j'allais le tuer si on me retenait pas. Je tapai mon front avec ma main, mon très cher frère était debout entrain de danser sur le bar. Je regardai Jeremiah à nouveau, en voulant être polie. Et toi ? même si je le savait il devait toujours jouer, je le connaissais quand même. Et dire que ce bar avait j'y passais une grande partie de mon temps, j'avais même fait des paris aussi un peu déjanté. D'ailleurs l'un d'eux concernait Jeremiah.

[..]

Je parie que t'est pas cap! me fit il une lueur de défi dans les yeux, je savais très bien ce que ça voulait dire, j'étais pas totalement idiote. Je le regardais dans les yeux, sirotant ma vodka redbull avec une paille. Il fixait le comptoir, il savait très bien que quand on me lançait un défi il était difficile pour moi de le refuser, juste pour avoir le dernier. Je bus mon verre cul sec. Marchant direction le comptoir, il demanda au serveur de monter la musique. Gimpant sur le bar malgré les contestations du barmaid et par la même occasion le patron. Je me mis à danser, assez provocante bien sûr juste histoire de lui montrer que j'avais le dernier mot. Les mecs dans le bar commençait à me siffler. abrutis. Il se leva alors lui et son regard qui voulait en dire long de ce qu'il pensait. Ce regard dont j'avais du mal à résister. J'étais amoureuse, amoureuse de ce type. Il finit par me saisir les jambes, m'accrochant a son cou je souris. Quand je finis par avoir les pieds touchant par terre. J'avais une tête de moi que lui. Il me fixait toujours sans un mot. J'avais l'impression d'être dans une bulle, n'entendant plus rien autour que les battement de son cœur. Je souris avant de lui dire. T'a vu j'ai gagné, Luckaël.., je l'embrassai, un petit sourire satisfait sur les lèvres.

[..]

Je plongeai alors mon regard dans le sien, en fait finalement ça n'avait rien de bon que je le revois ce soir, j'étais faible c'était tout ce que j'étais par rapport à lui. En fait je crois que je l'étais depuis qu'on s'est rencontré. Depuis que j'avais eus la bonne idée de lui permettre de s'asseoir avec moi pour discuter, m'avait il dit. Et voilà où on en était aujourd'hui. Faible. Seul mot qui me venait à l'esprit. Faible. j'étais bien trop faible face à lui et tout ces foutus souvenirs qui me revenaient en tête. J'avais envie de m'asseoir et de pleurer dans mon coin. De disparaître dans un trou de souris, pour un siècle ou deux, pour ne plus revoir ce regard. Ce regard qui me rendait tellement faible.
Pourquoi t'a fais ça au juste ? Pourquoi t'a parier sur moi ? Explique moi ! Je veux savoir, pour ? Parce que j'suis de l'élite tu t'est dis que t'allais me faire souffrir pour voir à quel point, finalement je pouvais tomber der mon pied d'estale. Les yeux brillant, j'avais tout débiter sans même le vouloir. Je le fixai toujours dans les yeux, même si ça me faisait mal, une boule dans la gorge, je savais que si je continuais j'allais pleurer. Ca faisait longtemps tient. Finalement t'a gagné j'ai beau faire partie de l'élite j'suis comme toute les autres. Pourquoi t'a fait ça ? Fis en le poussant. Mes mains venant s'appuyer sur son torse pour le faire reculer encore et toujours, juste pour appuyer mon propos. Comme si en rajoutant une couche j'allais avoir une réponse, mes yeux s'embuaient de larmes, je baissai la tête, j'étais faible et finalement je l'avoue enfin.

Salut.., me dit -elle timidement comme si elle aurait voulu rentrer six pieds sous terre que de se retrouver devant moi dans ce genre de situation... Ce qui pouvait grandement être compréhensible puisque moi aussi je trouvais cette situation plutôt gênante. De tout les films de notre rencontre que j'avais pu me faire dans ma tête, absolument aucun d'entre eux n'avaient envisagés un malaise. Je ne sais pas pourquoi j'aurais peut-être préfererune crise. Qui sait peut être viendrait-elle ..? Je me demandais ce qu'elle pouvait bien faire ici dans ce bar. Lully' n'était pas le genre de fille à sortir ici pour le plaisirs alors nécessairement je me posais quelques questions. J'viens chercher mon frère répondit-elle en s'efforçant de paraitre la plus indiférente du monde .Mais il s'adonnait que je la connaissais beaucoup plus qu'elle ne le pensais mas chère Lullaby..! Ces hochements d'épaules par ci par là ne signifiaient rien de bon. Quelque chose la préoccupant, elle détourna son attention de moi en me demandant ce que je faisais ici à mon tour. J'allais répondre lorsque son frère l'interrompit bruyamment. Elle était manifestement découragé mais elle se ressaisit rapidement. Oh rien, juste un ptite soirée entre mecs. Rien de bien bien important...dis je en laissant clairement à mon avis sous entendre que je quitterais n'importe quand les lieux en sa compagnie. Depuis le temps que je voulais passer du temps avec cette femme. Que l'on puisse enfin se parler face à face, et peut être se retrouver. J'avais un brin d'espoir à chaque fois que je pensais à l'avenir!

Lullaby et moi avions passer des moments uniques et inoubliables ensemble. Je refusais de les oubliés car ces souvenirs étaient encore les seules choses qui me reliait encore ne serait ce qu'un peu à elle. Ces souvenirs ne me rendait aucunement la vie facile. Au contraire, ils ne me faisaient penser que davantage à cette brunette que j'avais lachement laisser courir. J'avais l'impression que je venais de perdre une année de ma vie. Allez savoir pourquoi ? Je me disais qu'une année sans Lullaby n'en était pas une. J'en étais peut -être vulnérable. Pourtant tout ce que je voyais en ce moment c'était son insécurité face à moi. Tout à coup, elle me regarda directement danses yeux, déterminée à travers ses yeux brillants et humides: Pourquoi t'a fais ça au juste ? Pourquoi t'a parier sur moi ? Explique moi ! Je veux savoir, pour ? Parce que j'suis de l'élite tu t'est dis que t'allais me faire souffrir pour voir à quel point, finalement je pouvais tomber de mon pied d'estale. Sa soudaine déclaration me surprit. Elle sortait de nulle part et arrivait comme un cheveu sur la soupe. De toute manière j'avais toujours su que le moment viendrait pour les explications. Je savais déjà quoi dire. Seulement voila, les mots bloquaient dans le fond de ma gorge et cela ne passait pas! tient. Finalement t'a gagné j'ai beau faire partie de l'élite j'suis comme toute les autres. Pourquoi t'a fait ça ?fit-elle, ses yeux s'embuant de larme alors qu'elle posait ses mains contre moi pour me repousser. Je lui attrapais les mains dans les miennes et y entrecroisait mes doigts en la forçant à me regarder dans les yeux. Je l'avais entrainer dans un petit coin caché et tranquille. Lully' tu veux savoir? J'ai rien gagner. Quand t'es partie non seulement j'ai perdu mon stupide pari mais en plus j'ai perdu la meilleure chose qu'il ne m'était jamais donné de rencontrer. déclarais je en la suppliant du regard de me croire. En la suppliant de comprendre et de pardonner le con que j'ai été avec elle. J'essayais une larme et resserait mes mains contre les siennes. Avec ou sans pari, tu n'as jamais été comme les autres Lully'. Jamais. assurai-je.

« Il y a ceux qui s'aiment et ceux qui sont fait l'un pour l'autre. »

Lully' tu veux savoir? J'ai rien gagner. Quand t'es partie non seulement j'ai perdu mon stupide pari mais en plus j'ai perdu la meilleure chose qu'il ne m'était jamais donné de rencontrer. Me fit il alors que nous nous retrouvions dans un coin, caché de la vue de tout le monde. J'avais envie de pleurer, de lui faire ressentir tout ce que je ressentais à présent c'était comme une grosse claque que je me mangeais dans la figure en fait. Je baissai la tête, fixant nos mains enlacer, j'avais mal, mal au coeur plus que tout au monde. Avec ou sans pari, tu n'as jamais été comme les autres Lully'. Jamais. Je relevai à nouveau la tête c'était comme si on remuait le couteau dans la plaie. Les larmes coulaient à présent sur mon visage, j'avais l'air tellement idiote. Moi qui était juste venu récupérer mon frère j'étais à présent entrain de pleurer pour quelqu'un, que j'avais soit disant oublier. Qu'est ce qui peut me le prouver, dis moi! Fis en sentant ma voix se briser. Je n'avais même plus le courage de parler en fait, je séchais mes larmes. Lâchant par la même occasion ses mains, relevant la tête je devais vraiment avoir une sale tête. Je lui adressai un sourire forcée. Je dois y aller, mon frère doit m'attendre, j'dois le ramener chez moi.. fis je d'une petite voix. Je pris une grande inspiration, me hissant sur la pointe des pieds, je l'embrassai sur la commissure de ses lèvres, mes larmes avaient cesser de couler. Prouve moi que tu tiens à moi. Je le regardai dans les yeux. Quand je l'ai appris, j'ai crus que c'était qu'une blague, mais finalement j'ai compris avec les sous entendus que tes potes te faisaient. J'ai été idiote sérieusement. Je finis par tourner les talons, pour rejoindre mon frère qui était assis sur une chaise, il m'accueillit les bras grand ouverts. Heureusement qu'il était saoul et qu'il comprenait rien, je le pris par le bras, l'aidant à se redresser. Il neigeait, je soupirai je détestai conduire quand il commençait à neiger, les rues devenaient de vraies patinoires, et bon dieu que c'était horripilant déjà que les new yorkais roulaient mal mais en hiver ça atteignait des sommets. Je claquai la porte arrière de la voiture, ou thybalt me faisait des signes par la fenêtre ce qui m'arracha un sourire, je finis par verrouiller la voiture dans dix minutes il allait dormir comme un bébé et il ne sentirait même pas le froid comme quoi l'alcool ça réchauffe le corps. Je finis par me retourner pour rentrer une nouvelle fois dans le bar, la plus part des mecs présents étaient saouls, et me regardait comme si j'étais qu'un vulgaire bout de chair. Je soupirai, baissant la tête par la même occasion, histoire de me faire la plus discrète possible. Je finis par payer le barmaid pour les consommations de mon frère, a ce rythme là on allait être ruiner. Ou plutôt j'allais être ruiner.

Un homme se posa à côté de moi, accouder au bar, il me bloquait le passage, le bar était noir de monde. Cet homme me disait quelque chose mais pas moyen de savoir quoi, en fait son sourire ne me disait rien qui ne vaille. Pourquoi Thybalt était saoul hein? J'aurais pus rester bien au chaud dans mon lit mais non, mais non. Tu ne te souviens pas de moi. Mon visage afficha un petit rictus, il sentait l'alcool à cent milles lieues. Mais si on était dans ce bar même lullaby, t'était bien saoule. S'il savait le nombre de fois ou j'étais saoule et que je ne suis même pas capable de me remémorer. Quand soudain. T'est le gars à qui j'ai balancé de la bière dessus, puis tu t'est fais jeter dehors ! Désolé j'ai pas le temps là, la soirée des gros lourds c'est demain. Il devenait rouge, tout rouge, et moi je ferais mieux de déguerpir au plus vite. Je savais pas exactement si c'était par colère, ou par tout l'alcool qu'il avait ingurgité mais au fond je m'en fichais un peu tout ce que je voulais c'était pouvoir rentrer chez moi et pleurer dans mon coin, il fallait toujours qu'il y ait un idiot pour emmerder tout le monde et me mettre en colère. Je lui tournai le dos pour repartir dans le sens inverse, sauf que cet idiot a prit mon poignet. Il tira dessus assez fort, ce qui me valut un petit gémissement, décidément j'étais pas de taille contre lui. Avec mes soixante kilos tout mouillés je ne pouvais décidément rien faire. Je scruta la salle des yeux, a sa recherche sans que ce soit vraiment une victoire. Je savais plus quoi faire à présent, il me tirait et moi j'avais même pas la force de résister. Il me fit descendre les marches direction le sous sol, j'avais presque faillis tomber, un lueur de peur apparaissait à présent dans mes yeux. Je tentai de me débattre autant que je pouvais. Il me bloqua dans un coin, laissant ses mains répugnantes se balader sur mon corps qui tremblait de peur à présent. Si j'aurais pus mourir se soir je l'aurais fais. Une grimace de dégout sur le visage, des larmes coulaient sur mes joues. J'avais envie de vomir tellement il me dégoutait, il posa ses lèvres sur mon cou. Quand il fut projeter dans au moins deux mètres de moi, il atterrit par terre. Je relevai la tête, pour apercevoir ses yeux. Automatiquement je m'arrêtai de pleurer, je lui sautai alors dans les bras. Je me sentais comme protéger, à présent. Sauf que l'ivrogne revient à la charge à peine il desserra son étreinte. Que Jeremiah se prit une droite. Il finit par riposter en lui donnant un coup de poing dans le ventre. L'homme ko était à présent à terre, je me redirigeai vers Jeremiah. Je.. Je suis désolée... Je suis désolé pour ta lèvre, ça ira ?, fis je grimaçant posant ma main sur sa joue, l'obligeant à me regarder. Tu risques d'avoir un hématome par ma faute. Fis je en effleurant l'endroit qui commençait à bleuir. Je.. Merci, fis je en baissant la tête à nouveau décidément c'était une manie.

La confiance était une des choses les plus difficiles à avoir ces dernières années. Comme si tout le monde s'était transformer en une bande d'hypocrite, qui ne savent rien faire d'autre que mentir. En fait, je ne m'exclus absolument pas de ce lot. J'ai menti probablement plus que la plupart d'entre vous, que ce soit par le biais d'un pari qui m'oblige à toujours garder mon sang-froid, ou simplement avec une femme. Que ce soit la plus minable pouffe d'un club...ou le coeur de la femme que j'ai jamais pu me sortir de la tête en une année . Cela m'ammenait à la conclusion que cela n'avait servit à absolument rien. Nada. À part la perte de la confiance d'une personne qui me tenait à coeur ainsi que par le fait même : la personne elle-même. Qu'est ce qui peut me le prouver, dis moi! Je ne savais pas vraiment comme le lui prouver, à vrai dire il n'y avait pas 1 million d'options. Toutefois, je devais lui faire comprendre. Lully' n'avait pas été qu'un pari, elle avait changer une partie de mon coeur et avaot fait de moi autre chose qu'un gros parieur et joueur. Je dois y aller, mon frère doit m'attendre, j'dois le ramener chez moi.. ajouta-t-elle comme si le fait que je puisse lui prouver que ce soit la dépassait à ce moment précis. Sa voix se brisa à nouveau alors qu'elle ajoutait une dernière fois: Prouve moi que tu tiens à moi. Elle me regarda dans les yeux. Je lui lançais un regard qui transmettait je l'espérais tout le regret et la colère envers moi-même. Comme si elle ne s'en souciait aucunement elle continua sur sa lancée avant de me laisser les bras balants, ne sachant trop comment réagir.. : Quand je l'ai appris, j'ai crus que c'était qu'une blague, mais finalement j'ai compris avec les sous entendus que tes potes te faisaient. J'ai été idiote sérieusement. Alors que je la regardais s'éloigner à nouveau de moi, un déclic se fit. Ceci ne se produirait pas deux fois.

Oui, j'avais fait une erreur. Pathétique, mais les erreurs étaient humaines n'est-ce pas ? Cela prendrait surement beaucoup de courage et de volonté pour me donner le pardon, toutefois je ne croyais pas être absolument con en disant avoir déceler à travers les yeux de Lully, à travers ses gestes, qu'elle non plus n'avait pas été en mesure de m'oublier. D'oser passer par dessus une histoire comme la nôtre. Seulement , ce n'avait pas été de sa faute. Dans ce cas précis de relation amoureuse, les erreurs ne venaient pas des deux membres du couple, non. Je suis prêt à dire et à affirmer qu'elles venaient de moi dès le départ. D'ailleurs je ne me rapelle même plus le nombre de fois où je me suis demander ce qu'une fille comme elle pouvait bien trouver à un mec tel que moi ..? Une chose est sure, je ne la laisserais pas se défiler. Pas une autre fois. Suivant son sillage, avec un petit délais, j'allais lui prouver ce que je ressentais. C'est alors que je la vis entrainer de force dans le sous sol. Me frayant un chemin ce que j'aperçus me répugna. Première impulsion? Me jeter sur le gars et lui coller une droite regorgeant de toute ma haine. Personne ne pouvait s'attendre à toucher Lully' de la sorte sans qu'il n'y ait de représaille. Je me battrai n'importe quand pour elle. L'homme revint à nouveau, pour m'en coller une. Je n'avais pas été en mesure de l'arrêter mais les images de lui aggripant lully me redonna la force de lui donner un coup au ventre qui le fit basculer inconscient sur le béton du sous-sol. J'étais salemenr amoché. Lully' se précipita vers moi. Je.. Je suis désolée... Je suis désolé pour ta lèvre, ça ira ?,me demanda-t-elle soucieuse de mon état, en posant sa main contre ma joue. J'avais l'habitude de recevoir des raclée, mais je n'avais aucun réconfort habituellement ensuite. Je me touchai la lèvre en sang alors qu'elle ajoutai en secouant la tête:
Tu risques d'avoir un hématome par ma faute. Je.. Merci, fit-elle, humblement. Je l'attirais contre moi, en passant une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Lully' je vais toujours te défendre, je ne laisserais personne te faire du mal. , commençai-je en lui faisant remonter le regard en glissant mon doigt sous son menton. Lorsque je t'ai vu te retourner de cette manière, je..je ne pouvais pas te laisser m'échapper une nouvelle fois. Que tu l'acceptes ou non , j'ai des sentiments pour toi Lully. Plus que je n'ai jamais eu pour quiconque. dis je en me penchant vers elle, fermant les yeux, déposant mes lèvres meurtrient sur les siennes soyeuses et chaudes. J'attendais ce baiser depuis si longtemps...