♣ HEP HEP HONEY ; REFILE MOI TES PAPIERS AVANT DE VOULOIR ENTRER DANS LA COUR DES GRANDS

Hey Honey, Bienvenue à Manhattan j'aimerais bien savoir comment tu t'appelles Nicholas Leonardo Cepreani ; c'est mignon mais tes amis doivent bien te donner un petit surnom, le tien c'est quoi Nicho, L'italien ; Très bien, allez Honey tu m'as l'air jeune dis moi tu as quel âge ? 21 ans. Tu es née où d'ailleurs, comme ça je pourrais te le fêter si je n'oublie pas Turin, Italie. Dis moi, tu es dans quel groupe ? UPPER EAST SIDE Et ton jolie personnage tu l'as eus d'où ? SCENARIO.

« Seul l'avenir me dira ce que je serais dans 10 ans ; »

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Je m'appelle Nicholas Leonardo Cepreani, je suis né 29 juillet de l'année 1000 à Turin, En Italie. J'ai passé mon enfance ainsi que mon adolescence dans cette ville en compagnie de mes parents et de ma jeune soeur, Keirington.
Autrefois, j'étais un enfant épanouit, j'avais toujours un sourire tendre et accueillant pour les personnes qui avait besoin de réconfort. J'étais plein de vie, un peu turbulent, certes, mais facile à vivre malgré tout. Mais comme dans la vie de tout un chacun, chaque individu à sa propre bête... La mienne? Mon cher père! Cet homme avait fait de moi un être insupportable et parfois même méprisable. C'était un ancien coureur automobile. Il eut une carrière des plus remarquable. Il fut, autrefois, idolâtré de tous. C'était un adversaire de taille, toujours près à repousser les limites l'extrême, gagnant en puissance, écrasant ses adversaires... Jusqu'au jour où un terrible accident survenu. A cette époque là, je venais à peine d'avoir 9 ans. Lors d'une course assez important, où le gagnant devait être sacré champion européen, il fit une erreur de calcul à un virage qui aurait bien pu lui coûter la vie. Il fut emmené en urgence à l'hôpital, il resta 3 jours dans le coma mais fort heureusement, il s'en sortit mais son rêve d'être sacré un jour champion fut brisé en l'espace d'une poignet secondes. C'était depuis ce jour-là que ma vie devint un véritable cauchemar.
Mon père me fit découvrir sa passion pour les courses de voiture. Au début, je fus ébloui par le monde de la course mais aussi quelque peu effrayé du à l'accident de mon père. J'assistai à des courses en sa compagnie, rencontrai de grands pilotes et faisait quelques couvertures de magazine avec mon père. Malgré que sa carrière fut brutalement mise en arrêt, celui-ci avait encore de nombreux fans qui le soutenaient et admiraient son parcours. Je étais son plus grand fan, mon père était un modèle de force, de sagesse, de générosité... Mon son accident le changea. A 12 ans, j'eus ma première petite voiture de course. Je m'entrainais dur et assidument, je voulais être ne serait-ce que le quart de ce que lui était... Mais ce n'était point suffisant pour lui. Il voulait que je me surpasse encore et encore. je donnais le meilleur de moi-même mais il n'était jamais satisfait. Même lorsque j'avais remporté un tournois junior des moins de 16 ans, celui-ci était tellement mécontent de ma performance qu'en rentrant il me gifla. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait. et pour pas arranger les choses, ma mère, elle, ne faisait rien pour me défendre. Elle restait là tel un piquet regardant la scène de ses yeux ronds s'en jamais s'exprimer. je n'avais aucun soutien sauf ma petite soeur. C'était le seul qui me croyait en moi et qui m'encourageait. En grandissant, les remarques plus que désobligeante de mon père, malgré la tonne de trophée remporté par moi-même, m'insupportaient. Je ne pouvais rester une minute de plus dans cette immense propriété. J'avais besoin de m'évader et de changer complètement d'orientation, de ville, de passion... De but dans la vie!
La course resterait surement mon premier choix mais il me fallait couper toute forme de lien avec mon père. C'est ainsi qu'à ma majorité, je réclamai à mon père la première partie de mon héritage: un million d'euro soit environ un millions et demi de dollars. Celui-ci fut furieux, me disant que je n'étais qu'un raté, que je ne réussirai jamais dans la vie avec un esprit comme le mien. Ses mots me touchèrent telle une flèche atterrissant en plein sur sa cible. j'avais malgré la nette impression d'abandonner ma petite soeur aux mains de ce tyran. mais je savais qu'un jour je reviendrai à Turin le récupérer et le sauver des griffes de notre père.
C'est ainsi que je me rendis aux Etats-Unis, des étoiles pleins les yeux.Ici, ma vie allait changer du tout au tout... Je m'installai dans un hôtel à Los Angeles. Le soleil, la plage, les filles, un véritable paradis sur terre. Je m'y plaisais énormément. J'enchainai les fêtes, l'alcool, je me mis même à consommer occasionnellement de la drogue rien que pour me donner un genre. Mais mon caractère de ''né pour faire chier le monde'' n'était pas au goût de tous ce qui entraina presque inévitablement à chacun de mes passages dans les soirées des bagarres créées par mes soins. Je restai environ un an dans la ville puis parti à Miami. Là-bas, je ne fis pas mieux qu'a Los Angeles; je dépensai sans compter, liquidant la première partie de mon héritage et faisant quelques paris pour me refaire une santé. Les temps étaient de plus en plus dure alors 4 mois plus tard, je décidai d'aller à New-York. Peu-être que la chance allait me sourire cette fois. Au contraire, je sombrai petit à petit. J'avais pu survivre que 3 mois dans la ville. Je ne pouvais plus payer mon hôtel, si bien que je fus jeté dehors tel un mal propre. Je n'avais pas d'endroit où aller, ou dormir. Il me restait encore quelques billets mais pas assez pour aller bien loin. Je me mis à dormir sous les ponts. Jamais je n'aurais pu un jour ivre dans de telle condition. Moi qui avait tout, je n'avais plus rien. Le pire, c'est que la situation n'avait pas l'aire de m'alarmer. C'était limite si je m'en foutais. Une chose était sur, je ne pouvais pas demander à mon père de me reprendre. J'avais trop d'amour propre et je ne voulais pas lu donner raison. Je devais me débrouiller. J'avais une belle gueule, il fallait que je m'en serve. J'avais besoin d'argent. De beaucoup d'argent pour retourner au luxe auquel j'étais habitué. Mais le temps passait et rien.
Alors qu'un soir, je me trouvais à Central Park, pas loin d'un point d'eau tentant de prendre un semblant de toilette, j'aperçus une jeune femme. Je n'étais nullement géné d'ailleurs. Elle viens vers moi et nous discutâmes quelques instants. Je pense qu'elle eût pitié de moi car elle m'invita à passer quelques nuit chez elle le temps que rebondisse. Son nom? Lullaby Williams... Cela fait environ 6 mois que je vis à ses crochets. Cela ne me déplait pas...

« m'approches pas de trop près, tu pourrais le regrettais ; »

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Autant mettre les chose au clair de suite, je ne suis carrément pas un de ces Télétubbies tout gentil, tout mignon sautant dans tous sens et qui vivent dans un monde féérique. Non, moi, je préfère mettre le bordel dans mon monde. Je suis insupportable, invivable désagréable et tout ça pour le plus grand bien de mon entourage... Évidemment, je joue dans l'ironie! J'adore mettre les gens à bout de nerf, les rendre fou jusqu'à les emmener à l'asile s'il le faut, les pousser au suicide si ça me chantre... Bref, je suis un être des plus diabolique et je vie bien.
La plupart du temps, les gens a qui je fais le plus ''transpirer'', ''suer'' rien qu'en ma seul présence et de mon caractère de merde, c'est bien ces gens que j'apprécie le plus. Je suis capable de me montrer gentil et serviable à mes moments mais cette partie de moi je la montre le plus rarement possible je ne voudrais pas que mon entourage s'y habitue de trop.
Mai ma spécialité, c'est la drague... Je suis un beau gosse et je le sais... J'aime parler de moi et de mes expériences foireuses et non aux filles. Je suis tellement irrésistible qu'elles n'en peuvent. Certes, j'ai tendance à me la raconter mais au moins je reste authentique et vrai... Quoi qu'un ou deux mensonge par ici et par là, ça aide à emballer une fille...

« l'habit ne fait pas le moine, j'en suis la preuve ; »

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Que dire... Je suis un beau jeune italien à la peau légèrement mâte et assez grand de taille environ 1m87. J'ai les cheveux brun et les yeux marrons assez clairs. Sinon j'ai un un sourire ensorcelant, un regard ténébreux et à la fois énigmatique... Lorsque l'on me regarde droit dans les yeux, j'aime donner une sensation d'inaccessibilité et rendre mal à l'aise les gens, ça me donne un certain pouvoir un l'illusion de maitriser la situation.
J'ai un corps de rêve, une musculature qui en ferrait pâlir de rage Apollon en personne. J'aime me rendre à la sale de sport et prendre soin de moi. Et oui, la seule chose que je chérisse c'est bien mon corps! Je me dois d'être en condition à n'importe quelle heure de la journée. J'ai une réputation tout de même.
Sinon

« Moi aussi j'ai une vie ; »

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On m'appelle Tutune, et j'ai 19 ans printemps. D'ailleurs, j'habite à France. Comme vous pouvez le voir, j'ai choisi Francisco Lachowski. Vous allez devoir me supporter -- jours par semaine. Tout ça à cause de T'aimerais le savoir hein . Pour terminer, ces admins là m'ont demandé un code, s'il ne sont pas sadique eux, moi je ne sais pas. Il me semble que c'est Ok By J'. En plus de ça, ils me demandent de créditer mes icons et mon magnifique avatar COPYRIGHT. J'suis canon dessus, hein ? Une dernière petite question pour la route, attention la plus difficile : As tu remplis le Recensement des avatars ? C'est obligatoire ! Attention Manhattan je suis là pour le meilleur et surtout pour le pire.