♣ HEP HEP HONEY ; REFILE MOI TES PAPIERS AVANT DE VOULOIR ENTRER DANS LA COUR DES GRANDS

Hey Honey, Bienvenue à Manhattan j'aimerais bien savoir comment tu t'appelles Krystina Kendall McQueen ; c'est mignon mais tes amis doivent bien te donner un petit surnom, le tien c'est quoi? Krys,Krysti, Tina.. ; Très bien, allez Honey tu m'as l'air jeune dis moi tu as quel âge ? 24 ans. Tu es née où d'ailleurs, comme ça je pourrais te le fêter si je n'oublie pas 5 mai 1987, à Los Angeles. Dis moi, tu es dans quel groupe ? UPPER EAST SIDE . Et ton jolie personnage tu l'as eus d'où ? SCENARIO .

« Seul l'avenir me dira ce que je serais dans 10 ans ; »

.

«Papa? Tu t’en vas encore ? Mais tu pars combien de temps cette fois ! Jeudi c’est mon récital de ballet, tu vas y être n’est-ce pas ? » Demandais-je en lui courant après dans le hall de ma belle maison de Beverly Hill, portant mon petit tutu blanc, en lui faisant mes yeux d’épagneul. Comme si cela servait à quelque chose il me tournait le dos et ramassait des papiers sur la table de bois à l’entrée en trainant une petite valise dans sa main droite. Il s’était finalement arrêté en arrivant à la porte, l’avait ouvert et s’était agenouillé à ma hauteur. «Tina, je ne pense pas que ça va être possible. Je suis désolé mon petit caramel…tu demanderas à maman ou à ton frère plus d’explications!» avait-il dit en me donnant un bref baiser sur le front en sortant précipitamment de la demeure comme si elle avait été en feu. Je sortis sur le perron et le regardai monter dans sa voiture décapotable. En partant, j’aperçus une chevelure blonde voleté dans le vent tandis que je hurlai le nom de mon père pour qu’il se retourne et revienne. Il ne le fit jamais…

«Carlos, laisse-moi tranquille. Tu sais que nous ne sommes pas en couple. Alors aucune démonstration public. C’est pourtant pas compliqué à comprendre ?» argumentai-je avec une touche de mépris dans ma voix. Il ne comprenait pas que je ne voulais pas être en couple. Je voulais simplement m’amusé, pensais-je en le laissant en plan certainement plus seul que jamais. Je ne voulais pas être méchante mais c’était tout simplement plus fort que moi! Je ne pouvais pas le laisser penser qu’un jour il aurait une chance de m’avoir exclusivement. Pour l’instant, il n’en était aucunement question. Ce n’était pas pour moi. De toute manière je regardais les relations amoureuses des autres et cela ne me donnait aucunement envie d’en vivre une. Honnêtement, les couples à part se chicaner et se rendre jaloux je ne sais pas trop à quoi ça sert. Oh et ai-je besoin de parler de la tromperie ? Et ouais, là je parle complètement par expérience : c’est facile de faire oublier une petite amie à un mec l’espace d’une nuit. Si je l’ai fait d’autre le font aussi. Enfin bref. Je rentrai à pied chez moi, dans ma petite maison pas trop loin du lycée et de la plage en me faisant quelque fois relooker par des footballeurs en manque de sexe dans leur bagnole décapotable. Dans mon secteur latino de Beverly Hill les mecs étaient aussi chauds que le soleil de L.A en pleine canicule… J’avais essayé plusieurs banquettes depuis que j’étais au lycée. J’ouvrai la porte et tombai sur mon grand frère et sa petite amie sur le canapé. Collés l’un à l’autre comme une paire de velcro... Ew. Je claquai la porte derrière moi et laissait tomber mon sac sur le sol. «Les chambres d’hôtel sont de l’autre côté de la rue. Et n’oubliez pas : sans condoms c’est non!» déclarais je arrogante en regardant mon cher frère qui avait prit l’habitude de me dire cela depuis quelque temps. Dans la cuisine, je trouvai ma mère lisant le journal. Je l’embrassai sur la joue. «C’est dégoutant ce qui se passe de l’autre côté de ce mur.» Ma mère me sourit et le regard qu’elle me lança me signifia clairement qu’elle savait que j’avais déjà fait pire. «M’regarde pas comme ça! Moi au moins j’ai la DÉCENSE de le faire dans une chambre!» dis je assez fort pour qu’il m’entende. Ma mère secoua la tête. Je lui demandais comment avait été sa journée. «Eh bien disons que…je dois me chercher un autre emploi… Je me suis fait renvoyer et je n’arrive déjà pas à venir à bout de chaque mois…» Je la pris dans mes bras. «Maman, j’ai 16 ans maintenant. Je peux contribuer. Écoute, repose toi quelque temps je vais allez voir quelqu’un qui pourra me donner un job qui nous aidera. Fais-moi confiance!» Elle me remercia et alla se coucher. Je sortis peu de temps plus tard, en colère contre tout le monde. Particulièrement mon père. Nous étions si bien avant son départ…et depuis ce jour fatidique les ennuis financiers avaient débutés. Je n’en pouvais plus de voir ma mère agir de cette manière. Ça la tuait à petit feu. Il était peut-être dans les environs de sept heure trente du soir et je m’étais assise sur le trottoir découvrait mes longues jambes dénudés pour fumer une clope, lorsqu’un homme d’une vingtaine d’années arriva à ma hauteur en voiture et baissa sa fenêtre. «Tu charges combien, mamacita ? »me demanda-t-il. J’haussai un sourcil en tirant sur ma cigarette. Je lui soufflais la fumer dessus et demandais en retour. «J’ai l’air d’une pute qui charge combien ? » dis-je baveusement et froidement. Une idée naissa dans mon esprit. Jetant ma cigarette par terre je m’appuyais contre sa fenêtre. «Si tu me veux tu devras payer le plein prix. Je ne prends pas de nouveaux clients habituellement. C’est 120$ de l’heure, plus 25$ lorsque tu veux que je te fasse quelque chose que je ne suis pas obliger de faire. » L’homme me regarda et m’ouvrit finalement la portière…
***
Je ressortis dans les alentours d’une heure du matin. Seule dans la rue, je comptais le fric que je venais de me faire. 750$ dollars. En une nuit. Je me souriais étonnamment à moi-même. Je venais de décrocher mon premier emploi.

Devenue une call-girl renommée qui choisissait ses clients. Et j’étais loin de faire le trottoir. Je logeai dans un hôtel cinq étoiles, tout frais payé par mes clients. Mon métier restait secret, mais le fait était que de nombreux hommes d’affaires se rendaient dans mon hôtel et il ne me fallait pas beaucoup de temps pour les rendre fou de désirs pour moi. Et ils revenaient. Je m’étais fait une liste d’une vingtaine de clients réguliers qui venait de deux à trois fois par mois. Honnêtement, cette vie me satisfaisait. J’adorais le sexe depuis que j’avais au moins quatorze ans et ceci me permettait de me rapporter un merveilleux et scandaleux salaire. Pourtant, toute bonne chose à une fin vous voyez… Je devais me rendre à l’évidence que si je n’arrêtais pas bien vite de faire ce métier, les choses finiraient par mal tournées… Comme de fait, un homme essaya de me retenir en essayant de me menacer. Il était influant mais nul n’était encore né l’homme qui saurait un jour me posséder entièrement. Me créant un compte bancaire à New York, je fis transférer tout mon argent là-bas et convaincu un de mes clients qui résidait à New York de me payer mon hôtel là-bas pour ma survie et sinon je disais tout à sa femme. Je sais que l’homme de Beverly Hill me cherche encore et c’est très bien comme cela. Ma ville me manque mais j’apprends rapidement à aimer les atouts de la jolie pomme. Sept mois après mon arrivée à New York, l’argent entrait beaucoup moins rapidement dans mon compte avec mon métier de secrétaire… Mais je ne pouvais rien y faire ! C’est toutefois à cet emploi que j’ai rencontré celui que je ne croyais pas né : Evan McQueen, mon patron. Non seulement il était célibataire, riche et magnifique mais avec lui j’avais l’impression d’être plus qu’une simple jolie fille. À travers ses yeux je me sentais femme pour la première fois de ma vie. Il était plus vieux mais je n’avais jamais rencontré d’homme aussi sexy et charismatique de mon existence. Même s’il avait des enfants d’à peu près le même âge que moi, cela ne me dérangeait pas. Au départ notre relation était secrète mais bien sur, ils finirent par l’apprendre lorsqu’Evan me demanda en mariage. Je lui cache mon passé, je n’ai pas le choix. Et voila où j’en suis maintenant : cela fait un mois que je suis devenue Madame McQueen. Je file un petit bonheur parfait… Je ne plais pas à ces deux filles mais bon, j’imagine que ça doit leur faire bizarre. Enfin. Je m’en fou pas mal.

« m'approches pas de trop près, tu pourrais le regrettais ; »

.

On me dit souvent que je suis naturellement quelqu’un qui attire les gens. Pas simplement par mon physique mais aussi à cause de ma facilité à communiquer ma pensée à quiconque, de ma manie à être hyper sociable peu importe avec qui. Je suis quelqu’un d’apparemment affreusement charismatique… On tient tous un peu trop de nos parents, et ce n’est pas du tout étonnant que je sois aussi égoïste. Mon père tout craché. Je pense souvent pour mon bien en premier. Durant mon adolescence, je me vendais pour nous aider à arriver à chaque mois alors aujourd’hui je suis dans une position où je me dis que je peux encore être serviable mais que ce qui compte en premier lieu c’est mon petit cul. Je suis une femme passionnée. Je m’en rends compte dernièrement depuis que je suis amoureuse de cet homme. Je ne sais pas pourquoi mais ce mot semble décrire parfaitement ce que je ressens avec lui : une immense passion. Je l’avouuuuuuuuuuuuue, je suis superficielle! Ne me demander surtout pas de me passer de mon téléphone, de mon maquillage et surtout pas de passer un séjour dans un hôtel en BAS de 5 étoiles. Y’a quand même des limites à la générosité..! Je n’ai peut-être pas fait d’étude universitaire mais je suis intelligente. J’ai une préférence pour le français mais j’ai appris à être bonne en math pour ne pas me faire escroquer par mes clients. Finalement je dirais que je peux complètement être tête en l’air et m’amuser, être votre meilleure amie! Mais je sais aussi par expérience dans quel moment il faut se calmer. Dans ces moments là, on peut parfois me repprocher d’être trop arrogante/baveuse/impulsive/franche..Et j’en passe. Mais bon c’est moi. Je suis ce que je suis et je ne changerais rien du tout.

« Moi aussi j'ai une vie ; »

.

On m'appelle Kim ou PrettyFamous, et j'ai 16 printemps. D'ailleurs, j'habite au Canada. Comme vous pouvez le voir, j'ai choisi Kim Kardashian. Vous allez devoir me supporter 5/7 jours par semaine. Tout ça à cause de mon DC, Jeremiah L. Fitzgerald. Pour terminer, ces admins là m'ont demandé un code, s'il ne sont pas sadique eux, moi je ne sais pas. Il me semble que c'est kahina est passé par là . En plus de ça, ils me demandent de créditer mes icons et mon magnifique avatar google/tumblr. J'suis canon dessus, hein ? Attention Manhattan je suis là pour le meilleur et surtout pour le pire.

-re- Bienvenue
Je te valide =)
Bon jeu parmi nous & j'espère que tu t'éclateras avec la belle-mère McQueen