« Winnie ! » hurla ma mère, j'accourais auprès d'elle, elle me regardait en disant « Je t'aime ma puce, mais maman va devoir encore partir ce soir ! » je soupirais doucement, je devais avoir quoi quatre ans. « Debby va te garder ! Papa ne sera pas là aussi, il est de garde à l'hôpital ! » La mère de Winnie est une grande organisatrice de soirée quant à son père il est neuro-chirurgien. Elle m'embrassa sur la tempe puis elle s'en alla, je restais avec ma nourrice. J'avais quatre ans et les seuls moments ou je profitais de mes parents étaient pendant Noël, Thanksgiving, ma mère rentrait souvent mais pas mon père. Je soupirais doucement, Debby était sympa heureusement. Elle était vraiment une nounou parfaite, on a passé la soirée à faire tout & n'importe quoi. Elle m'a déguisé, on était en mode rock'n'roll et on chantait Highway to Hell a fond dans la maison. Debby avait 16 ans, elle était comme ma grande sœur. La maison en tous cas était sans dessous, dessous surtout ma chambre. On a dansé comme des folles. Honnêtement, je m'amusais mieux avec Debby qu'avec les autres. Certes on est riche, mais les autres nounous lisaient leur bourquins, elles m'adressaient a peine la parole. Debby n'était pas comme ça. « Tu veux manger quoi ce soir Winnie ? » Elle ne m'appelle pas Bluebell, c'est juste les autres qui m'appellent comme ça. « A ton avis ! » lui dis-je en souriant. Elle sortit le gros pot de glace. On prit une grosse cuillère, du chocolat fondu, des coupelles de glaces et on alla se poser sur le canapé. Une pure soirée, ce que la bonne avait préparé dans l'après-midi, on l'avait donné au chien d’à coté. Il a du se régaler. Des vrais véroles, nous ? Non !


J'avais six ans et ouais, je vécu le drame qui bouleversa toute ma vie. J'étais à la maison, ma mère était partie faire les courses de Noël, toute seule, elle ne voulait pas que je vois ce qu'elle allait commander au père Noël dans le magasin. J'étais resté avec la bonne qui me faisait manger, elle était normale. Elle me traitait bien parce que j'étais la fille de ses patrons alors on ne parlait pas trop. Elle me regardait engloutir le dessert, qu'elle n'avait pas fait et je n'ai pas eu le même entrain à manger ce qu'elle avait préparé pour dîner. Elle me fit un sourire hypocrite que je lui rendis avant de répondre « Pourquoi t'as plein de machins moches sur le front ? » j'avais demandé innocemment, elle m'a lancé un de ses regards noirs qui fait froid dans le dos. Elle s'en alla ensuite dans l'arrière-cuisine, j'allais me poser sur le canapé, je regardais les dessins animés. Mon père arriva en trombe deux heures plus tard, je me suis endormie dans le canapé. Il alla me porter dans mon lit.
Le lendemain, je descendis en bas et je vis le visage de mon père décomposé. Je le regarde en disant « Où est maman ? » il eut quelques larmes, je ne comprenais. Il s'abaissa à ma hauteur doucement. « Chérie.. Ta maman est partie rejoindre les anges aux ciels ! » Je me mis à pleurer, comme tout le monde je suppose, il passa sa main dans mon dos et je sentais aussi ses larmes. Rien n'est plus triste que ce jour de décembre. Mon père s'écarta de moi en disant « Mais ta maman t'aime, elle t'aimait et elle t'aimera toujours, elle sera toujours avec toi ! » il me donna ensuite le médaillon de ma mère en disant « Elle me l'a donné hier soir pour toi, elle aurait voulu que tu le porte ! » il me l'accrocha et jamais plus il me quitta.



« Julia ! » on ne m'appellait plus Winnie, ou du moins presque plus depuis la morte de ma mère. On ne voulait pas m'appeller Bluebell, juste les profs enfaîtes. Bluebell était le nom de ma grand-mère paternelle, sauf qu'elle a nuit à mes parents après ma naissance. Elle a tout fait pour qu'ils passent pour de mauvais parents, enfin, je vais vous épargnez le topo c'est trop long. « Julia, je te présente Merry et son fils Matthew ! » je souris, il était brun, il avait un visage assez marrant et il était pas mal. La mère est venue me faire la bise ainsi que le fils. « Si tu faisais faire le tour à Matthew, chérie ! » j’acquiesçais ensuite, laissant les deux adultes seuls. J'allais lui montrer notre super piscine. « Alors tu t'appelles Julia ? Mais c'est trop moche comme prénom ! » je me retournais alors, en disant « Tu crois que Matthew c'est mieux peut-être ? » avec un sourire moqueur, il répondit « Bien sûr ! Je suis plus attirant que toi puis déjà Matthew ça a la classe ! » je soupirais, sa y est, je suis tombé sur un mec qui a un ego démesuré, merci papa. « J'espère que tu ne vas pas tomber dans les escaliers dis-donc ! » ironisais-je. « Tu vas m'adorer Juju! » je fis une grimace en disant « Ouais c'est ça et ta sœur ! » il me lança un regard noir. Première rencontre & c'est déjà la guerre.
« Morue ! » je me retournais, il sourit « Ah bah c'est bien tu te reconnais ! » je le regarde en disant « La ferme ! Sale porc ! » il me prit par le bras en disant « Blubbly, Blubbly ! J'aurais espéré meilleur répartie de toi ! » il connait tous mes prénoms, nos parents sont vraiment amis.je retirais son bras, en disant avec un sourire narquois « Ah mais je m'abaisse à ton niveau mon cher ! », il passa sa main contre mon menton en disant « Je préfère ton regard de tigresse, t'es plus sexy ! » je soupirais, en disant « Je préférerais que tu sois moins débile, tu serais plus sexy ! » je lui souris avant de disparaître.
« Julia ! » dit mon père pendant que nous mangions notre repas père-fille une fois par semaine. « J'aimerais que tu sois plus gentille avec Matthew ! » je le regarde ensuite. « Pourquoi ? Je m'abaisse juste à son niveau ! » il prit ma main et me la caressa doucement. « Chérie, s'il te plait ! » « Non papa ! Il est arrogant, mesquin, détestable ! » il me fit un petit sourire « Il a perdu sa sœur dans un accident ! Comprends-le ! » je le regarde en disant « J'ai perdu ma mère et je ne suis pas détestable avec toutes les filles ! » je débarrassai ensuite la table, mon père ne dit rien.
Je rentrais de chez ma meilleure amie, il était tard, si mon père avait appellé et que je n'étais pas là. Il allait m’étriper demain soir. Il n'y avait personne à la maison, juste moi. Je marchais dans une rue, tout en pensant à tout et a rien quand je bousculais quelqu'un. « Putain vous pouvez pas faire attention ! » je le regarde en reconnaissant sa voix « Désolé ! Ca va Matthew m'agresse pas ! » et encore une dispute commença. On s'insultait de tous les noms d'oiseau qu'on avait en stock. Quand tout d'un coup, on s'arrêta et prise d'une pulsion, on s'embrassa jusqu'à ne plus respirer. Puis on se dirigea vers ma maison et ce fut ma première fois. Il est partie le lendemain, je ne l'ai plus jamais revue.



J'ai dix-neuf ans et j'ai pris mon appartement, à Miami sauf que je suis juste en face d'un mec qui n'arrête pas de faire de bruit. J'essaie de dormir, mais impossible. Il était quatre heures du matin, j'ai cours moi. J'attachais mes cheveux vite fait, je m'habillais en deux quatre sept. Je tambourinais à la porte. Un type, super mignon vient m'ouvrir. « C'est pourquoi la furie ? » je le regardais en disant « Baissez le son, y'en a un qui essaie de dormir ! » il se mit à rire. « C'est parce que je ne t'ai pas invité que tu es aussi énervé? » je pris ma tête entre les mains. « Baisse le son tout de suite ! Sinon ça va pas le faire ! » je commençais à rentrer chez moi. « Je suis Liam ! » je lui claquais la porte au nez et il continua son rafus. Je me mis à tout brancher chez moi, j'allumais aussi les lumières de l'extérieur et paf les plombs ont sauté. Je l'entendis crier et moi, je pouvais ENFIN dormir.


« Doc' ! Faut que tu me soignes ! » il avait plein d'endroit ou il y avait des bosses, il saignait un peu partout. Mon cœur s'accélera, non mais je ne dois rien ressentir pour lui. Il est comme Matthew avant sauf que lui pourrait prendre soin de moi.. Oh arrête. Je le fis rentrer chez moi. Nous étions silencieux. Il s'asseya sur une chaise de la cuisine, je m'asseyais face à lui. Une fois finit, nous ne parlions pas, il posa une de ses mains sur mon visage, on s'embrassa et vous savez comment ça s'est finit.


« C'est là que nos chemins se séparent hein Winnie ? » me dit alors Liam. « On dirait bien, je dois partir pour New-York ! J'ai une chance ! » on s'enlaça, on a vécu plein de bon moments. Nos parties de jambes en l'air resteront les meilleurs. « Je t'adore, Doc enfin futur Doc pour les mômes ! » je me mis à rire je le regarde et grimaça en pensant à ses paroles du début « T'as pas le droit de me dire ça, pas maintenant Liam ! » il me sourit, avec un air arrogant en disant « Je sais que je vais te manquer Doc ! » il partit ensuite me laissant là et moi, j'ai un avion pour New-York a prendre. Allez hop, big apple t'es à moi.. Enfin presque. Mon père est très fier que je fasse mon internat, là ou il la fait.

Anecdote 1 : « Maman, on fait quoi cet aprèm ? » j'avais cinq ans. Je montais sur un des sièges de la cuisine. Elle me regarde ensuite en disant « On peut aller au parc ou tu veux qu'on reste ici ? » je souris en disant « Au parc ! » elle me sourit et enfaites cette journée là on a eu que des galères mais on a bien rigolé. Déjà il a plut, j'ai voulu une glace mais le glacier n'avait plus mon parfum préféré. Ma mère a cassé son talon mais on a finit dans un bon restaurant et enfaîtes on a rigolé de cette journée désastreuse, je m'en rappellerais toujours de cette journée parce qu'on a rit aux éclats.

Anecdote 2 : « Ton père n'est pas là ni la bonne ? » me demanda Debby avec un regard plein de malice. Je devais avoir huit ans. Je hochais la tête négativement. « Si on faisait une fête ? » j'eus un large sourire en disant « Une fête de princesse ? » elle me regarda avec un rire qu'il lui prit après ma réponse. « Non, une vraie fête d'ado ! Allez viens on appelle mes potes ! » j'étais trop contente de faire une fête qu'avec des grands. 20 minutes plus tard, tout le monde débarquait. Debby réserva le pot de glace rien qu'a moi. Je le prêtais qu'avec qui je voulais. Il y avait beaucoup d'alcool. Mon père est arrivé en plein cœur de la fête et il a viré tout le monde, même Debby et il me disputa aussi pourtant cette fête valait largement le coup.


Anecdote 3 : « Cours ! Cours ! » me dit ma meilleure amie alors que nous avions 14 ans. Deux types nous courraient après, heureusement qu'on avait prévu les baskets. On avait fait ça pour s'amuser, on avait volé une superbe belle robe, qui coûte bien la peau des fesses avec Abbey -Leen. Ca a toujours été ma meilleure amie depuis des lustres à Miami, mais en tous cas, on en pouvait plus, quand ils abandonnèrent, on se relaxait dans un jardin. « Putain ! Je ne referais plus jamais ça ! » dis-je en riant. « Et moi, je n'irais plus dans cette boutique ou dans les alentours ! » je me mis à rire en disant « Carrément en tous cas, tu m'embarques plus dans tes plans foireux ! » je plaçai mon poing en l'air, elle frappa dedans « T'inquiètes pas bichette ! » et on rentrait chez elle avant de se poser devant un bon vieux magasine.


Anecdote 4 : « J'arrive pas à croire que je suis collé avec toi Baker ! » souffla alors Matthew. Je soupirais longuement « C'est ta faute d'abord ! » il se retourna vers moi en disant « Bah tiens qui sait qui a commencé à me jeter ses brocolis dans la tête ! » alors là, ça allait partir, je me collais contre ma table pour répliqué méchamment « Qui c'est qu'a commencé à m'insulter de morue ! Hein, alors fermes là ! » il me tira la langue. Je lui tirais à nouveau. On commença à rire puis nous nous ignorions. On se balançait des piques, le surveillant nous dit de la fermer. Moi je me suis tut, sauf que le surveillant, il lui a tordu le bras, ça m'a bien fait rire mais je l'ai aidé quand même à se soigner, malgré la rancoeur qu'on a entre nous.


Anecdote 5 : J'étais dans ma chambre, j'étais assez triste, il faisait tout pour me rendre jalouse avec cette fille le Matthew, le pire c'est que sa a marché et ça, c'est nulle, j'étais horriblement déçue de moi-même mais comment je peux tomber amoureuse d'un garçon pareil, c'est pas possible. Nos parents étaient les chaperons de la fête alors, j'ai pas pu m'amuser comme je le voulais. Les parents étaient au salon. Matthew monta dans ma chambre « Dégages ! » répliquais-je sans regarder derrière moi. « Winnie.. Tu m'accordes cette danse ? » je me retournais avec un sourire hyppocrite « Va te faire voir ! » un sourire sur mon visage, dans mon miroir. « Allez s'il te plait, pour quelques heures ? On ne peut pas être amis ? » bon ok, je devais faire un effort. Il me tendit sa main, je gérais ma chaine hi-fi avec la télécommande, je posais sa tête sur son épaule et on commença à danser, quand tout d'un coup l'alarme incendie se déclencha. Je le regardais en disant « C'est un signe, on ne peut pas être amis ! » eh effectivement mon père venait d'oublier le thé sur le gaz.


Anecdote 6 : « Winnie, ça te dit de faire un truc avec ton vieux père ? » pour une fois mon père a réussi à avoir une journée. « Euh.. Non ! » il me regarde, complètement largué. Je lui fait un bisous en disant « Je rigole papa ! » il me sourit « Que direz-tu d'un Just Dance suivi d'une partie de Baseball sur la Wii ? » forcément, mon papa pour se pardonner m'acheter toute la pointe de la technologie. « Allez va-y ! Je vais t'éclater ! » il me regarde avec un air de compétiteur. « C'est ça petite, montre ce que tu as dans le ventre ! » On commença à danser, je l'ai battu. « Oh yeaah ! J'ai plus la forme que toi ! T'as vu ça, 10 894 contre 9 201 ! » il me regarde avec cet air de cause toujours. On se met alors à jouer au Baseball et là, c'est lui qui m'a eut. « Alors tu disais quoi la môme ? » je fis le même air qu'il m'a fait tout a l'heure. « On se fait une pizza ? » on se frappe dans la main. « Ca marche ! » il prends le téléphone en disant « Va te doucher avec une douche bien froide, celle de la défaite HA !.. Allo, non c'est pas à vous que je disais ça mais à ma fille.. » je me mis à exploser rire et je montais à l'étage.


Anecdote 7 : « Je veux devenir chirurgienne, en pédiatrie, j'adore les enfants Pa', je veux marcher sur tes traces ! Enfin je les suis un peu mais sans le faire ! » il me regarde en riant. Je ne comprenais pas « Pourquoi tu rigoles ? » il continue de rire en disant « J'ai cru que t'allais m'annoncer que t'étais lesbiennes alors j'ai eu peur ! » j'avais envie de lui faire peur. Je le regarde en disant avec un sourire gêné « Bah t'as percé à jour mon secret ! » il s'arrêta de rire et il s’inquiéta « Quoi ? T'es lesbienne ? » il commença a tousser et je baisser progressivement la tête, avant de le regarder en disant « Je t'ai eu papa ! Avoue, je suis la meilleure ! » il commença à rire ironiquement « Très drôle ! » je me mis à exploser de rire, j'avais garder un sérieux à toute épreuve depuis un sacré bout de temps « T'aurais du voir ta tête, c'était.. vraiment.. géniale ! » il me fit un bisous sur la joue en disant « T'as de la chance d'être ma fille, bon je file nous chercher à manger, je reviens ! »


Anecdote 8 : On avait 18 ans avec Abbey-Leen « Tu vas te marier Abbey !C'est un grand moment dans ta vie! » elle me regarde en disant « Ouais mais je flippe, crois-moi ! » je lui souris en disant « Bon allez, enlèves moi cette robe sublime de mariée ! On va aller se saouler chez Liam ! » elle me regarde en disant « Bon, allons-y ! » on partit très vite. On arrivait au comptoir, c'était la soirée karaoké. On commença par s'enfiler trois quatre verres à la suite, je commençais à avoir chaud, ce fut une des plus belles soirées qu'on ait eu avec Abbey, même si après on a eu mal au crâne mais pour l'instant on est partie chanter. « Liiike a viiirgin, touched for the very first time ! Yeah yeah ! » on se dandinait de partout. On rigolait, on faisait n'importe quoi. Les mecs dans la boite était fous, encore plus lorsque qu'Abbey enleva son t-shirt, elle était en soutient gorge dans le bar. Moi je riais. J'attendis la fin de service de Liam, Abbey avait appellé sa sœur et il m'a raccompagné.. Il a eu du mal. « Winnie, te cramponne pas comme ça, on va tomber ! » il attrapa l'ascenseur de notre immeuble, je lui fis un bisous sur la joue. « T'es saoule ! » me dit-il. « Ouais mais je suis consciente ! » il rigola légèrement, on sortit ensuite de l'ascenseur, je tombais par terre et je l’entraînais dans ma chute. « Lève toi Winnie, lèves-toi ! » je rigolai très fort en disant « Non, non, non faut que tu me portes ! » le pauvre. Je lui ai fait la misère.


Anecdote 9 : il était quatre heures du matin et un type commençait à me faire peur, je le voyais à tous les coins de rues, c'était vraiment flippant. J'ai cru entendre un bruit dans mon appartement, je me mis littéralement à flipper, je sortis en trombe de mon appartement. J'allai frapper à sa porte, en robe de chambre. « Qu'est-ce que tu fous là ? Il est quatre heures du matin Winnie, merde ! » je le regarde en disant « Je suis désolé, je peux dormir chez toi ? » il hocha la tête négativement. « Seulement quand on couche ensemble ! On a eu un rapport sexuel hier ? Je ne crois pas ! » je le regarde et tapa du pied « S'il te plait.. j'ai.. J'ai peur du noir ! » je chuchota ensuite, je ne voulais pas lui dire que peut-être un fou me suivait, il se mit à rire. Il riait vraiment aux éclats. « T'es sérieuse ? » je hochais la tête et je rougis, un voisin de notre pallier sortit en disant « Bon vos gueules merde ! Y'en a qui bosse demain ! » il nous jeta ensuite de l'eau bien glacé. On se mit à pouffer de rire. « Bon allez viens ! » il se poussa et je le regardais en disant « Merci ! Bien aimable ! »



Anecdote 10 : Premier jour à New-York, j'ai couru vraiment partout, j'étais paumé mais contente sauf que j'ai perdu ma dignité en allant à l’hôpital. Je me suis cassé un bras dès le premier jour et mes collègues ont bien ris de moi. La première chose à faire à New-York, faut toujours regarder devant soi. Heureusement que ce n'était que deux semaines de plâtres mais heureusement à New-York, pendant ma convalescence, j'ai eu un super bon ami, que j'ai rencontré comme ça. Il est acteur mais il a un grand cœur mais il me laisse son appart, je me retrouve à nouveau toute seule, comme dans toute mon existence.