{ Une rencontre Un coffee } Georgina & Eric

{ Une rencontre Un coffee } Georgina & Eric 196026Rob3robertbuckley10087834100100

~Il ne faisait pas très chaud quand Éric ouvrit les yeux , il jeta un coup d'oeil furtif à son réveil qui afficha 07 H 08, il regarda ensuite le plafond histoire de se demander pourquoi les cours sont toujours aussi tôt et pourquoi il ne pouvait pas rester dans son lit bien au chaud . Il s’asseyait sur son lit avant d'enfiler son jean de la veille, et de passer dans la salle de bain se brosser les dents et se coiffer . Il regarda sa tête quelques secondes et jeta un autre coup d'oeil sur le salon des manettes de jeux vidéo au sol et des chips partout éparpillées son regard se posa sur une bouteille de whisky vide , apparemment hier il devait avoir encore fait une soirée alcool et jeux . Il épongea son visage avec l'une des serviettes propres qu'il trouva non loin de lui il coiffa ses cheveux soigneusement enfilèrent une superbe chemise blanche, serra sa cravate enfila un blouson et se dirigea vers la porte d'entrée ça lui fit bizarre de voir personne dans son appartement il fit un demi-tour et poussa avec l'un de ses doigts la chambre du coloc' il vit alors personne le lit n’était même pas défait il se gratta le déçu de la tête, haussa les épaules et continua sa route il enfila ses chaussures et descendit les escaliers un à un..

Il regarda sa montre qui afficha 07 h34 il fit une grimace et grogna à voix haute !

- Punaise je suis en retard .

Il devait encore prendre le bus et se chercher un café avant que ses cours commencent il ouvra la porte et se rendit à l'arrêt de bus . Il vit alors quelques personnes attendre comme lui il prit son téléphone brancha ses écouteurs et commença à écouter de la musique il regarda les nombreuses voitures passer devant lui, quand tous à coup il vit au loin le bus arriver il prit son sac de cour et s'approcha de la route le bus s'arrêta il grimpa et s’asseya à côté d'une vieille femme quelques minutes après il appuya sur le bouton "' ARRÊT '' le bus s'arrêta il se leva en essayant de ne bousculer personne, et le bus reparti derrière lui . Il entra dans le café et attendit avant qu'une jeune femme lui demanda ce qu'il veut bien prendre, quand celle-ci lui demanda et commença à le préparer il regarda sa montre et tapa du pied il allé être à la bourre . Elle le servit il lui glissa la monnaie dans la main il lui fit un sourire et se retourna à toute allure seulement derrière lui cogna les livres d'une jeune femme ça le fit trébucher et il se retrouvât le nez par terre il leva les yeux et une demoiselle s’était pris son café sur sa jolie veste il grimaça...

ERIC & GEORGY

“Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais...” Effy

Bonjour New-York, il est six heure quarante cinq et c'est l'heure de vous réveiller. Saviez vous qu'à Manhattan aussi il y en a qui écoute ma radio ? Non ! Je peux même vous révéler que l'Elite de l'Upper Est Side nous écoute tous les matins. Peut être q'un de ces jours, nous aurons la chance d'en entendre un intervenir en direct. On ne sait jamais, l'appel est lancé ! Cette nuit a été plutôt calme......

Je coupais le radio réveil, m'étira longuement. Je n'avais aucune envie de me lever, mais impossible de ne pas aller en cours aujourd'hui, j'avais déjà eu le nombre d'absence autorisé doublé ce semestre et je voulais néanmoins passé dans la classe supérieur l'année prochaine. Il me fallait donc être studieuse jusqu'à la fin du semestre. La pire corvée étant celle d'assister au cours, cependant, il y avait pire. Alors que toutes ces âmes avaient fini de travailler à 17h30, nous étudiants nous ne faisions qu'entamer notre deuxième journée. Car oui, j'estime que dans une journée de vingt quatre heure, il y a deux à trois "journée". La première c'est celle où on est en cours toute la journée. La seconde commence quand on rentre chez nous et qu'on a une tonne de devoir à faire et de leçons à apprendre pour le lendemain. Et l'éventuelle troisième "journée" commence vers minuit, l'heure des braves qui sortent s'amuser la nuit. Toutes ces pensées de si bon matin ne me ressemblaient guère. J'étais toujours allongée dans mon grand lit vide, les bras en croix après m'être étirée. Je rabattis mes bras le long de mon corps et me redressa en prenant appuis sur ceux ci. Je sortis enfin du lit et me traîna jusqu'à la douche. Je n'étais décidément pas du tout du matin. Après une bonne douche bien froide, pour me réveiller et faire circuler le sang comme il faut, je retourna dans ma chambre en serviette et ouvrit mon dressing. J'entrais et fit tombé la serviette. Personne n'entrait ici sauf avec mon autorisation et vu mon humeur du jour personne n'aurait l'autorisation d'entrer. J'enfila des sous-vêtements et choisi une robe blanche, avec une dorure sur les contours et des genre de "soufflets d'aisance" doré également allant de la pointe de mes seins jusqu'au début du bassin. L'intention étant clairement affichée. Je choisis une petite veste en daim écru allant parfaitement avec ma sublime robe décolleté. Je choisis ensuite de mettre ses collants porte jarretelles fraîchement acquis et encore jamais porté. Les intentions du jour étaient clairement définies : coucher. Je me regarda dans la glace du dressing, satisfaite. Je lâchais mes longs cheveux bruns, les laissant légèrement ondulé à leur gré. Je retourna enfin dans ma chambre et habilla mon visage. Tout d'abord la touche de maquillage, je commença par une touche de fars à joue pour me donner quelques couleurs, j'enchaîna pas un léger trait d'eye liners noir de chaque coté des deux yeux, une petite touche de fard à paupière couleur chair, un peu de mascara et la touche finale un dessin parfait de lèvre au crayon coloré de l'intérieur par un glose effet rouge à lèvre longue durée. Satisfaite du maquillage, je pris sur le portant de ma table à maquillage un collier sautoir que j'enroula autour de mon coup pour faire comme si j'avais non pas un mais trois colliers. Il était maintenant sept heure quarante. Je choisis rapidement une paire de talon noir, pour suivre avec les collants portes jarretelles. J'attrapa rapidement mon sac de cours et mon portable. J'appela l'ascenseur pendant que je terminais de les attacher. La limousine attendait déjà devant, moteur déjà en marche. Je sauta à l'intérieur et le véhicule démarra. Comme tous les jours, je fis arrêter le chauffeur devant le Starbuck afin de prendre mon café du matin. Il y avait toujours un monde fou à cette heure ci. Il me restait environ dix minutes pour arriver en cours. Un gars devant moi semblait également en retard au vue de son impatience à avoir sa commande. Lorsqu'il l'eut enfin, je n'eus pas le temps de m'écarter qu'il s'écraser sur moi, son café directement sur ma superbe veste en daim. Le con ! Non mais il s'est pas rendu compte à quel point il était con ! Ma veste était fichue. Impossible de la récupérer. Je regardais ma veste en pestant, je lançais ma commande en même temps et je redressa enfin la tête pour voir l'andouille ambulante qui avait détruit ma plus belle veste ! Putain fallait en plus que l'andouille soit un mec. Et un mec potable avec ça ! Qu'est ce que j'allais bien pouvoir lui faire pour lui rendre la monnaie de sa pièce ?? Sans même m'en rendre compte je lui dit : « Merci je ne savais même pas comment j'allais faire pour me débarrasser de ce chiffon, tu viens de me rendre un grand service » Puis je commanda un nouveau café pour ce garçon. Le temps que celui-ci arrive, je continua en lui tendant une carte de visite avec l'adresse de l'hôtel particulier : « Pour te faire pardonner, ce soir, viens à cette adresse ! » Je paya ma commande et fit volte face prête à partir en cours. Puis, je me ravisa pour demander : « Tu vas en cours ? T'es en quoi ? Je t'emmène ? »

(c) .mac

Éric était là allongé sur le sol, il n'osait pas se relever il ne voulait pas voir la colère sur le visage de la personne à qui il venait d'infliger sa catastrophe et gâcher la journée par la même occasion , il leva juste nez et vis de très jolie talon noir qui devait valoir une petite fortune pas de chance se dit-t-il dans sa tête c'est une fille il s'imagina alors déjà en train de lui donner tout son loyer du mois pour sa veste .

Le surnom qu'on lui donna assez souvent à en mater nette et primaire lui revint alors Éric la terreur, c'est vrai qu'il avait déjà fait pas mal de gaffe comme en maternelle il mange la colle, mit de la peinture dans les cheveux des filles, trébucha un nombre de fois incroyable . En grandissant il a commencé à croire que la malédiction qu'il avait commencée à s'estomper avec le temps , mais la preuve que non il avait encore une fois le nez pas terre . Il se releva alors doucement regarda le visage de la jeune fille qui n'avait pas vraiment l'air de lui en vouloir il souffla d'une aire de soulagement, il entendit encore les nombreux rires des personnes dans le café il n'eut pas le temps de placer une parole qu'elle lui lança :

« Merci je ne savais même pas comment j'allais faire pour me débarrasser de ce chiffon, tu viens de me rendre un grand service » Puis je commanda un nouveau café pour ce garçon. Le temps que celui-ci arrive, je continua en lui tendant une carte de visite avec l'adresse de l'hôtel particulier : « Pour te faire pardonner, ce soir, viens à cette adresse ! » Je paya ma commande et fit volte face prête à partir en cours. Puis, je me ravisa pour demander : « Tu vas en cours ? T'es en quoi ? Je t'emmène ? »

Face à tout ça eric nan revenait pas était t'il bien tombé . Ou était-il dans un rêve il se frotta la tête et lui lança un

- Merci timidement

Il resta bouche bée face à la gentillesse de cette demoiselle, il n'en croyait pas ses yeux si ça aurait été un mec il y aurait longtemps qui serait partie en courant avec ou sans un oeil au beurre noir . Puis il relança à la jeune femme

- Je suis vraiment désolé pour ta veste, si tu veux je m'arrange comme je puisse pour essayer de te la rembourses je ne sais pas combien elle vaut, mais si elle coûte très cher je mettrais un peu de temps à te la remboursés mais je te la rembourse serai coûté que coute .

Il prit sa carte avec plaisir ramassa son sac qui était encore au sol, avant que quelqu'un le prend pour un ballon et il prit le café que la jeune demoiselle lui tendit .Et lui lança un large sourire quand elle lui demanda s'il allait en cours Éric lui répondit

- Oui, puis il regarda sa montra en lançant

- d'ailleurs je suis en retard ... puis il reprit

- Je suis à l'université de Brown et toi

Quand elle lui demanda si elle pouvait l'emmené il lui fit un signe de la tête comme pour dire avec plaisir , il la suivra alors dehors devant la belle limousine il beugua . Il n'était jamais monte dans une limousine il devait surement être tombé sur une fille avec de très gros moyens . Avant de montée dedans il lui souriant et lui disent :

- je peux savoir le prénom de ma victime ?

ERIC & GEORGY

“Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais...” Effy

Je regardais ma sublime veste en daim complètement ruiné par le café de cet abruti. Il était inconcevable de renverser un café sur des vêtements de hautes coutures. Et pourtant ce mec là avait osé. D'autant plus qu'il avait osé faire ça sur mes vêtements à moi, Georgina Sparks ! Soit il était totalement inconscient, soit il savait qu'il aurai un lourd tribut à payer pour un moment. Voyant l'état du jeune homme, peu glorieux, avouons le, je décidais de prendre ma revenche. Il ne faut jamais oh non jamais s'attaquer, même pas erreur à Georgina Sparks. Le jeune homme n'avait pas encore du me reconnaître. L'imbécile ! L'heure tournant, un nouveau café remis au jeune homme, je lui avais proposé de l'accompagner en cours. La limousine devant m'attendait déjà. Autant faire le chemin en bonne compagnie. Le garçon s'excusa et promis de lui rembourser quoiqu'il arrive, je n'écoutais pas, il n'avait pas l'allure d'un Upper Est Sidder et il n'aurait jamais les moyens de rembourser la veste. Il faudrait qu'il paye autrement... Je ne lui annonça pas de suite la couleur, préférant continuer un peu à ce petit jeu sordide. Il me ramassa mon sac à main, j'haussais les sourcils, contrariée, mais ne dit mot. Il avoua être en retard et précisa qu'il était à Brown. Comme moi. Bon et bien, ma politesse et ma gentillesse légendaire allaient être mises à rude épreuve. J'indiquais au jeune homme la limousine stationnée devant le Starbuck. J'étais entrain de monder dans celle ci quand le jeune homme, visiblement entrain de beuger sur le véhicule me demanda alors mon prénom. *Il était temps* pensais je. Je répondis alors, sourire au lèvre et laissant la place à mes cotés dans la limousine afin qu'il s'installe : « Je suis Georgina, Georgina Spaks, et toi tu est ? » *un looser* poursuivis je intérieurement. Enfin, un looser que je verrais quand même le soir même voir de quoi est doté son pantalon. Car je l'avoue, l'invitation du soir pour qu'il se fasse pardonné était un prétexte pour assouvir ma soif du jour, mon besoin quotidien, ma petite dose de sexe. Même si aujourd'hui, j'avais encore plus faim qu'habituellement...

J'otais ma veste de daim, souiller et la jeta sur un siège libre de la limousine. Le véhicule re-démarra, je me blotti à coté du jeune homme, faisant mise d'avoir froid. J'hésitais à dire au chauffeur de faire demi-tour pour retourner à l'hôtel particulier ; de lui donner congé une heure après qu'il ai garer la limousine sur un parking publique ; ou d'attendre le soir. Je pris le parti d'attendre le soir, après tout, s'il ne venait pas, j'irais le chercher demain et le tirerait moi-même pas les couilles jusqu'aux toilettes ! Il n'avait donc aucun intérêt à se défiler... En route, j'avala mon café en écoutant la radio beugler :

Il va faire relativement froid aujourd'hui, j'espère que vous avez prévu le coup et que vous vous êtes suffisamment couvert ce matin.

Je regardais mes manches courtes de ma robe à bustier. Jetais un coup d'oeil à ma veste en daim et fusilla du regard le jeune homme. J'allais me cailler les miches aujourd'hui en gros ! Merci !

Coté horoscope, les lions et les vierges devront s'armer de patience, la journée commence mal mais devrait se terminer par une bonne nouvelle !

Ah oui ? Je me sentis d'un seul coup beaucoup mieux, il faut dire que j'écoute rarement les élucubrations du disjoncté de la radio, mais aujourd'hui, son début d'horoscore étant fondé, j'osa espérer que la fin de journée serai mieux lotie. Je regardais pas la fenêtre, quelle bonne nouvelle pourrais je avoir d'ici la fin de journée ?

(c) .mac

Malgré que la jeune fille n’ait pas trop l’air d’être remonté contre lui, Éric s’en voulait lui aussi s'il était riche, beau et avait une limousine qui l’attendait tous les matins il ne serait pas content qu’une personne au bas moyen s’en prenne à sa magnifique veste qu’il aurait s’en doute payer très chère . Il regarda la jeune femme étrange, son visage ne lui était pas inconnu, il regarda de nouveau sa silhouette il devait surement déjà l’avoir croisé, dans l’un des nombreux couloirs de l’université . Et effectivement tous ses habits devaient lui couter une petite fortune il n’imagina même pas la taille de son dressing, comme dans les films remplis de plus de 200 chaussures, bijoux et tenus différentes, alors que Éric n’avait au total pas plus de 10 teeshirts dans son armoire , remarquant sa classe et son élégance il fit un signe au chauffeur pour pas que celui-ci se déplace il le remercia en lui fit un signe de la tête, il ouvrit alors la porte de la s onctueuse limousine et lui fit un signe d'avance ..
Il se comporta en gentleman il le devait après ce qu’il venait de faire juste après ceci il entendit son nom, effectivement son nom ne lui était pas inconnu il creusa dans sa tête pour se demander qui il était et il se souvint, que la jeune femme passe souvent sur le site de Gossip girl de nature curieux, le jeune homme aimait se brancher sur ce site . Quand celle-ci lui demanda son nom il repondit

- Eric Lewis

La limousine se mit en marche , peu de temps après qu'Éric y soit monté . Il regarda à l’intérieur les sièges en cuir , les vitres teintes, tout était somptueux . La jeune femme devait vraiment avoir froid , elle balança sa veste sur l’un des nombreux sièges en cuir de la limousine .elle se blottit alors contre lui, pendant le trajet même si il n’osa pas trop parler puis il lanca .

- Je sais que tu vas trouver sa bête mais, je te promets de me racheter je n’aimerai pas que quelqu’un de maladroit m’habime l’un de mes plus beau vêtement même si tu avoues le contraire puis il continuât

- Ce soir je passe à quelle heure ?!

Éric essaya d’être le plus agréable et polie possible, il regarda le temps par la fenêtre couverte avec un petit vent frais sa veste était plutôt chaude il l’enleva, et la mit soigneusement sur les épaules de la jeune femme . Heureusement il avait pris la plus belle veste de son armoire, sa veste était noire c'était la veste que sa mère lui avait achetée pour son anniversaire, elle était relativement chère et s’était bien la seule qui veuille la peine d’être prêté après l’immense boulette qu’il avait effectuée, sous sa chemise on pouvait voir c’est quelques plaquettes de chocolat plutôt bien dessiner, il se Senta nu mais ça en valait la peine . Puis il la regarda et dit

- Le temps est couvert garde là, même si ça ne va pas avec ta tenue vos mieux que tu ne choppes pas une pneumonie sa serait dommage .
La limousine s’arrête devant l’immense bâtisse il était enfin arriver .

ERIC & GEORGY

“Des fois j’me dis que j’suis pas née dans le bon sens, genre j’suis sortie d’ma mère à l’envers et les mots qu’j’entends j’les entends à l’envers, les gens que j’devrais aimer j’les hais et les gens qu’je hais...” Effy

En nous approchant du véhicule, le jeune homme fit un signe de tête au chauffeur qui retourna au volant de la limousine. Le garçon ouvrit la portière et fit me un signe. Je pris ce signe pour une autorisation à monter dans ma propre voiture. Il semblait vouloir faire bien, sauf qu'il avait du regarder trop de film à l'eau de rose constatais-je avec mépris. Une fois que je me fus présentée. Le jeune homme fit de même. Autant savoir qu'il valait mieux se tenir écarté de ce Eric Lewis ou pas. Le véhicule démarra. Je jetais ma veste détruite sur un espace vide et me blottit tout contre ce garçon. Il rompit le charme qui était entrain d'opérer pour dire : « Je sais que tu vas trouver ça bête mais, je te promets de me racheter, je n’aimerai pas que quelqu’un de maladroit m’habime l’un de mes plus beau vêtement même si tu avoues le contraire... Ce soir je passe à quelle heure ?! » Je le regarda incrédule. J'avais envie de lui répondre que ce n'était pas avec ses petits moyens qu'il pourrait me repayer une veste en daim de la nouvelle collection de Guicchi. Je préférais ignorer sa phrase, lever mes yeux au plafond et rebondir sur son interrogation finale. Enfin une question intéressante ! Il faut avouer que niveau conversation, ce Eric ne valait pas grand chose, mais il venait de remonter de quelques points dans mon estime en me demandant l'heure à laquelle il devrait venir. Je fit mine de réfléchir et annonça la couleur : « Tu penses pouvoir être là vers 19h ? » A dix neuf heure, il aurait fini les cours comme tout le monde, il aurait eu le temps de trouver la route, il aurait même le temps de prendre un journal à lire dans son métro. Il me rapportera peut être un café pour se faire pardonner. Cela me fit doucement sourire.

Alors que la limousine s'arrêtait enfin devant l'université de Brown, le jeune homme me mit sa veste sur les épaules et me proposa : « Le temps est couvert garde là, même si ça ne va pas avec ta tenue vaut mieux que tu ne choppes pas une pneumonie ça serait dommage... » Je regardais le jeune homme, sourit gentiment et le remercia en lui disant : « C'est gentil à toi de penser à ma santé, mais ne t'inquiète pas, j'ai une veste de rechange dans la cale sous le siège. Elle va enfin pouvoir servir à quelque chose... Garde la, tu risques d'attraper froid ! » Alliant les mots aux gestes, je me redressa et ouvrit la banquette se situant en face de nous, dans la longueur du véhicule. J'appuyais sur un genre d'interrupteur et là sortit un kit de secours. Une veste, un pantalon, un tee-shirt ainsi qu'un paire d'escarpin le tout taillé sur mesure étaient disposés, pliés à la perfection et présentant sublimement bien. Je pris la veste et l'installa sur mon dos avant de faire redescendre le kit de secours et de refermer le siège de la banquette. La veste beige passe partout n'était pas du tout inadéquate vis à vis de ma petite robe. Satisfaite, je toqua à la vitre de la limousine afin que le chauffeur nous ouvre la portière.

(c) .mac

HS : c'est court, mauvais et ça fait rien avancer, désolée :s

Désolée Eric, j'ai changé de personnage, Georgina est maintenant un PV libre, ce rp va donc partir incessamment sous peu aux archives