JEFFERSON MARY LOUISON

1996 -Dans notre quartier on avait toujours eut l'habitude de faire un grand feu de camp pour le quatre juillet, de se raconter des histoires de manger autour d'une table, mon père faisait toujours les grillades. On était une quinzaine, mon frère et moi aimions jouer autour du feu, il avait quatre ans et me suivait toujours. Ma mère nous disait toujours de revenir. Par crainte qu'on ne trébuche et ne se brûle. Puis finalement on allait s'asseoir devant le feu, et je regardais toujours les flammes. Tout cela me fascinai, je trouvais ça magique. Sauf que cette nuit là tout a basculé, j'étais réveillé par les cris de mon père. Une fumée opaque remplissait la pièce, j'avais peur, je m'étais enfermée dans un coin de la pièce, j'avais du mal a respirer. Je criai je pleurais de toute mes forces, toussant par la même occasion, j'avais peur plus peur que jamais. J'avais mal, mal au bras, j'avais l'impression que j'allais mourir peut être que c'était ça la mort. Quelqu'un finit par me prendre par la taille, j'avais du mal a garder les yeux ouverts, j'avais juste envie de dormir. Quelqu'un m'emmena hors de la maison je fus déposer sur un brancard. J'avais mal, je tentai de me débattre, j'avais envie de hurler mais je n'en avait plus la force. J'entendais comme des chuchotements, je ne comprenais pas ce qui se passait. Je voyais des lumières bleus et rouges. Un homme me mit un masque à oxygène sur le visage, j'avais du mal à respirer. Puis je finis par apercevoir une silhouette, qui finit par m'embrasser sur le front, j'en déduisis que c'était mon père. Celui ci semblait chambouler, j'avais toujours cette sensation de brûlure sur le bras, le dos. J'avais peur. Finalement mon père monta avec moi dans l'ambulance, la seule chose que je pus entendre avant de perdre connaissance fut les paroles de mon père. On est plus que tout les deux ma princesse..

2012 - Arrête de crier tu vas le réveiller, fis je en tentant le calmer, il semblait déchaîner, il croyait de nouveau que je le trompait, que j'allais en voir un autre en cachette. J'en ai rien à battre de tout ça, tu voulais un gamin tu en a eus un. Il me faisait mal, mal au plus profond de moi, si j'aurais su qu'il allait devenir un monstre pareil j'aurais jamais accepter. Il tenait en main une bouteille d'un vieux whiskey qui traînait dans l'appartement que nous partageons depuis presque deux ans. Il s'appelait Samuel c'était le premier gars dont j'étais tombé amoureuse j'avais tout quitter pour lui a mes dix huits ans, ma famille mes amis, j'avais accepter d'avoir un bébé malgré mon jeune âge. Mais tout ça s'était avant qu'il ne perde son travail. Tout ça c'était avant qu'il ne commence a boire tous les soirs. Qu'il rentre à l'appartement tout les soir ivre mort en me hurlant dessus, j'avais toujours été là, a le regarder me traiter comme de la merde, finalement je n'en pouvais plus, j'avais fais mes valises, je voulais partir, j'avais enfin le courage. Il finit par s'asseoir dans le canapé. J'avais cherchée Sasha dans le couffin, avec une grande habilité j'avais réussis à ne pas le réveiller. Il dormait à point fermé. Je regardai Samuel dans les yeux. Je m'en vais pour de bon, j'en peux plus. Il se leva d'un bon, me prenant brutalement par les épaules me plaquant contre un mur. J'ai besoin de toi, Louison. Me laisse pas j'ai besoin du bébé et de toi. La gorge nouée je le fixais, je ne devais pas céder pas une fois de plus, je n'avais qu'une envie pleurer, lui pardonner et que tout redevienne comme avant, mais jamais ça ne serait comme ça. Plus jamais. Je t'aime Samuel, mais je ne peux plus rester là a devoir supporter le fait que tu rentres ivre mort tous les soirs, je veux qu'en rentrant je te retrouves avec une lueur dans tes yeux, il faut que t'aille voir quelqu'un. Si tu ne le fais pas pour moi fait le au moins pour sasha. Adieu.. Je pris mes affaires, prenant mon sac de voyage ainsi que le couffin où sasha dormait toujours aussi paisible. J'ouvris la porte, alors qu'il me bloquait le passage. S'il te plait ne rend pas ça plus dur que ça ne l'ai déjà. Où est ce que je pourrais te trouver, Mary ? Je le regardai dans les yeux, des larmes coulant le long de mes joues. Je t'aime, Samuel, je t'aimerais toute ma vie. Je finis par le pousser, il se laissa faire, je voyais déjà ses yeux qui brillaient. Je finis par descendre les escaliers quatre à quatre. Je sortis de l'immeuble, je pris la peine de lever la tête pour regarder au niveau de la fenêtre de notre appartement. Je le vis peut être pour la dernière fois, je baissai les yeux pour finir par appeler un taxi.. Direction la maison de mon enfance, à New York. Je ne pensais pas revenir un jour la bas ça devait bien faire 5 ans que je ne l'avais pas vue.

quelques heures plus tard je me retrouvai devant la maison de mon enfance, je finis par sonner, il devais être vingt trois heures. Je payais le taxi, Sasha dormait à point fermé. Je pris une grand inspiration avant de sonner, un homme grisonnant ouvrit la porte il semblait surpris de me revoir. Mary, fit il en articulant difficilement. Papa.. Il eut un moment de blanc, Sasha se réveilla, puis se mit à pleurer. Je déposai mes affaires à terre. je le pris dans les bras. Papa je te présente ton petit fils, Sasha.. Je suis partie de chez Samuel. Est ce que c'est possible qu'on dorme pour deux ou trois nuits chez toi avant qu'on ne se trouve quelque part où loger ? Il me laissa passer, je le regardai pendant un long moment avant d'entrer dans la maison. Elle me rappelait tellement de souvenir. Tu veux bien le prendre le temps que je range mes affaires? Je souris, il haussa les épaules. Je le tendis le bébé. il le prit, il n'était plus habitué. Je montai les affaires puis prit la première première porte. Je découvris ma chambre comme je l'avais laisser y'a cinq ans. Je souris avant de redescendre mon père semblait fasciner par Sasha, je souris croisant les bras sur ma poitrine. Il avait arrêter de pleurer. Sasha, vient voir maman, elle va te coucher tu vas faire un bon dodo. Je le pris dans mes bras et alla le coucher. puis redescendis, il m'avait préparer une tasse de thé vert, comme j'aimais. Je lui souris. Vous pouvez rester autant que tu le désires. Je tiens à connaître mon petit fils..

† elle a quitté sa famille a dix huit ans pour un homme, elle est retourné vivre chez son père depuis le divorce † elle a un tatouage sur la colonne vertébrale représentant une plume elle a d'ailleurs bien morfler, un autre au poignet droit représentant une aile. † elle s'est brûler l'épaule, le bras droit et un peu le dos quand elle était gamine, a cause du feu qui à détruit la maison où elle a grandie. Cet incident a tuer sa mère et son petit frère. † sa seule famille aujourd'hui c'est son petit garçon † elle est toujours tombée amoureuse des mauvais garçons † elle s'est marié a l'âge de vingt ans, avec un homme qui en avait vingt huit, celui ci est aussi le père de son enfant. † elle ne veut plus jamais se marié elle a trop souffert, elle ne veut plus non plus tomber amoureuse † elle est très intelligente, mais ayant abandonner ses études,elle se contente de travailler dans un bar † elle a toujours peur que son ex-mari ne la retrouve . Elle a une manière assez spéciale d'envoyer bouler les gens † elle est claustrophobe, depuis l'incendie † elle a eus longtemps peur du feu et ne supporte pas les feux de cheminée † elle donnerait sa vie pour son petit garçon.