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| "La langue ne permet pas en toutes circonstances A moins penser se qu'on dit pour pouvoir dire se qu'on pense." Josh | |
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Emma L. R. Serra
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| Sujet: "La langue ne permet pas en toutes circonstances A moins penser se qu'on dit pour pouvoir dire se qu'on pense." Josh Dim 22 Juil - 15:52 | |
| Le soleil braillait aujourd'hui et je voulais aller faire un tour, histoire de me promener, de changer d'air. L'appartement a beau être grand et j'ai beau avoir une colloc' de rêve, mais je ne voulais pas rester ici toute la journée. J'ai donc enfilé une petit robe blanche avec des petites fleurs marron dessus et un paire de spartiate de la même couleur que les petites fleurs. Puis direction la salle de bain pour une petite séance de maquillage; crayon, liner, far à paupière, du mascara, un léger coup de fond teint, et un peu de gloss. Par la suite je m'attache les cheveux, une simple queue de cheval et direction la sortie, je ne sais pas encore ce que je vais faire, ou aller, ou peu être bien que si, faire un tour dans Broocklyn, c'est pas le genre de quartier que je fréquente d'habite mais ça changera un peu et c'est pas plus mal. Une fois en bas de ma résidence, je héla un taxi, je n'avais pas envie de me rendre dans Broocklyn avec mon chauffeur attitré, si non je te dis pas comme je serai vus la bas. La fille qui se rend à Broocklyn avec sa voiture personnelle avec chauffeur qui se fait déposer du coté de Broocklyn histoire de marcher, je passerai pour une petite fille capricieuse alors que ce n'est pas le cas donc autant prendre le taxi. Une fois dedans je m'installa sur la banquette arrière, donna la direction au chauffeur puis mis mes écouteurs dans mes oreilles. Soudain j'eu la nostalgie de ma chère France, ça fait plusieurs années que je n'y aie pas remis un pied en fait depuis que je suis partie en Angleterre environs deux ans quoi. C'est aussi depuis que je l'ai quittée que je n'ai pas remis les pieds dans un musée ou bien regarder des toiles amateurs dans la rue. En pensant à ça je tourna la tête et regarda par la fenêtre et vis exactement à quoi je pensais. Toute une rue pleine de peintre amateur débutant, qui exposait leur toile ou peignait, la plus part était des hommes, plus ou moins âgé. Je ne sais même pas où on est mais je demande au chauffeur de me déposer là je voulais en profiter t'en qu'a faire. Je remonte toute la rue sans prendre le temps de regarder et une fois au bout je redescend, prend mon temps et admire et chacune des toiles. Certaine était magnifique, d'autre très belle, et encore d'autre vraiment très moche, et d'autre encore pire. Puis soudain une toile sortait du lot, un tableau magnifique, elle était représenté par une jeune femme, je saisis mon sac et pris mon porte feuille, je la voulais ça irai très bien dans ma chambre. "Combien est ce que vous voulez pour cette toile?" Mais en attendant que l'artiste de me réponde je tourna la tête et aperçut quelque chose d'encore plus magnifique, je m'excuse auprès d'elle et me dirige vers l'autre artiste cette toile était magique, un style unique et assez inexplicable, c'est bien la première fois que j'ai cette sensation, ce tableau me faisait de l'effet, lequel je ne sais pas, cette toile m’hypnotisait, mais en regardant autour toute ces toiles, donnait le même ressentis et c'était vraiment, en fait je ne peux même pas l'expliquer. J'étais bouche bée devant tout ces tableaux. |
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Josh Williams
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| Sujet: Re: "La langue ne permet pas en toutes circonstances A moins penser se qu'on dit pour pouvoir dire se qu'on pense." Josh Dim 22 Juil - 19:18 | |
| 6heure du mat'.
Josh se gelait les couilles depuis 6heure du matin. Bon maintenant il avait l'aire con avec son bonnet trop grand pour lui et ses gants qu'il avait rangé à côté de son sac. Mais dieu qu'il avait eut froid le matin, en venant amener toutes ses affaires. Le tout emporter dans un grand sac, ayant un accord avec l'un des peintres pour qu'il passe avec sa camionnette pour prendre ses peintures avec. Car il n'aurait jamais sut les transporter sinon. De temps en temps, tout les 8 du mois ou un truc dans le genre, l'association des habitants du quartier fermait la rue pour permettre aux jeunes peintres en herbes d'entreposer leurs toiles, et qui sait de vendre l'une ou deux planches. Il était quatorze heure lorsque Josh finalement fit tombé le bonnet. Bob,l e type qui lui avait amené ses toiles et qui exposait à côté de lui, une quarantaine d'année, petit, joufflue, rasé, et un petit bide qui commençait à naître sur son ventre lui avait dit que c'était peut être pour ça qu'il vendait pas, il faisait peur avec son bonnet, et puis si il souriait peut être que ça changerait.
Qu'il se méfie, car dans un premier temps, si Josh avait enlevé son bonnet, c'était pour l'égorger avec. Finalement, il renonça à l'idée, sans lui il n'avait personne pour ramener ses toiles chez lui. Bref, c'était pas une journée incroyable pour Josh, pour l'instant. Il n'avait absolument rien vendu. Un peu comme 70% des personnes présentes ici. Quand quelqu'un venait l'interpeller, c'était pour lui donner des conseils ! Et puis quoi encore ! Pour qui ils se prenaient ceux là ! Bande de bourgeois prétentieux. Bob à dut le calmer deux fois alors qu'il venait de menacer un grand brun de l'empailler avec son tableau. C'était tellement frustrant. Josh se demandait ce qu'il foutait là. La plus part des gens ici avait une quarantaine d'année, et étaient incapable de vivre de leur passion tout simplement parce qu'ils ne vendaient pas. C'était peut être impossible après tout... Peut être que c'était un rêve un peu fou. C'était pas comme si toutes les toiles étaient dégueulasses, mais bon. Bob tentait de lui expliquer, lui dire qu'avec la crise, les gens achetaient moins de peintures, que c'était plus aussi populaire non plus, mais que pour lui, tout ça allait un jour reprendre du poil de la bête car les gens avaient envie de rêver, et pour ça rien de mieux qu'un tableau.
Mouais, il aurait aimé volontiers le croire, mais pourquoi alors cette pouff' juste devant lui qui avait mis un décolleté plongeant, faisant contraste avec son bonnet ridicul, n'arrêtait pas de liquider ses toiles depuis ce matin et s'en vantait, lançant des sourires satisfait à l'assistance. C'était pas que ce qu'elle faisait était laid, c'était juste de l'imposture ! Josh pouvait faire la même chose en dix minute. C'était un peu la David Guetta de la peinture ; juste parce que c'est commercial et que ça se vend. Les gens avaient vraiment des goûts de chiotte ! En plus, c'était pas comme si ce qu'elle faisait était gratuit.
File moi une allumette et un bidon d'essence, je vais aller cramer sa merde !
Bob rigola, prenant ça sur le ton de l'humour. Mouais, Josh lui expliquera plus tard que c'était du premier degré. Mais tout ça attendras, une gonz' qui était en train de reluquer les peintures en face venait vers lui, mater les siennes de peintures. Jusque là, ça ne voulait absolument rien dire. C'était ce que faisait 90% des personnes ici : « Se montrer intéressé ». Puis elle partira en délivrant un gentil sourire qui voulait dire « Ce que tu fais est bien, mais trop cher et en fait j'en ai rien a foutre de la peinture, c'est juste pour faire genre que je m'y connais ». Sauf qu'elle restait bien longtemps devant ses toiles. Bob lui mit une tape dans le dos, l'aire de dire « Allez mon gars ! Va l'interpeller. ». Il s'avança de quelques pas et interpella la jeune fille.
Je peux vous aider ? Ou vous êtes comme 96% des personnes qui passent ici et vous allez me conseiller d'utiliser tel sorte de peinture, ou un pinceau plus fin ?
Connerie de passant qui avaient l'habitude de critiquer tout ce qui passe, surtout sur des matières qu'ils ne maîtrisent pas. |
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Emma L. R. Serra
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| Sujet: Re: "La langue ne permet pas en toutes circonstances A moins penser se qu'on dit pour pouvoir dire se qu'on pense." Josh Lun 23 Juil - 14:44 | |
| Je devais vraiment avoir une sale tête en regardant ces peinture ou bien autre chose car le propriétaire des ces toiles, la sortie de ses pensées. Des les premiers mots je reviens parmi les vivants. Cependant il n'est pas très courtois et je me sentais légèrement agressé par sa façon de m’interpeller cependant je n'y fis pas attention de moins j'essaye de ne pas lui montrer. J'étais vraiment trop intéressé par ses toiles pour repartir à cause d'un commentaire désagréable de sa part si bien que je voulais en jouer, je suis pas du genre à faire enrager ou à contrarier les gens par pur plaisir mais là je ne sais pas lui ça ne me dérangerai pas le moins du monde. "Effectivement vous devriez changer de pinceau pour utiliser ce genre de peinture, sur tout sur des toiles comme ça." Je fis une petite pause, en fait nan j'avais pas envie de l'embêter. "Laissez tomber, est ce que vous avez pris de cour? J'aime bien ce que vous faites et c'est pas en école de peinture qu'on retrouve ce style, tout à fait unique je doit le dire." Puis après réflexion en regardant autour de moi je comprenais ce qu'il voulait dire par "vous êtes comme 96% des personnes qui passent" Des gens totalement in-intéressé qui viennent se promet dans le West Side histoire de dire qu'ils ne reste pas seulement de le CBD à Manhattan, et viennent exposer leur argent à tout va histoire de montrer qui commande. J'étais pas là pour ça je voulais profiter et apprendre, je n'ai jamais pris de cour de peinture ou quoi que ce soit cependant l'art m'a toujours apporté quelque chose que je n'ai jamais connus auparavant un sorte de liberté par le rêve. J'aurai aimé pourvoir peindre quelque chose un jours mais quand je m'y suis mise, c'était la catastrophe, le dessein était pire qu'un gamin de quatre ans si bien de j'ai totalement laissé tomber et recommencé à profiter des oeuvres des autres et c'était tout aussi bien. A me laisser transporter dans un monde totalement différent de la réalité; là où les chevaux sont roses, l'herbes est vert fluo, les papillons flash, le ciel et turquoise, et une petit rivière cristalline coupe le paysage en deux pour encore plus de sensation. Wah tout par où là ma chérie tu déraille complètement. J'avais envie de parler de ses peintures avec lui mais je pense qu'ici n'est pas forcement un endroit approprié quoi que si mais sur une chaise dans un petit café pourquoi pas. "Est ce que je peux vous inviter à boire un café pour qu'on discute de votre travail, j'aurai peu être quelque chose à vous proposer." En attendant sa réponse je me replonge dans mes contemplation décidément ces toiles sont vraiment superbes. |
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Josh Williams
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Who rocks ? ▌NOMBRE DE MESSAGES : 22 ▌A NEW-YORK DEPUIS LE : 19/07/2012
| Sujet: Re: "La langue ne permet pas en toutes circonstances A moins penser se qu'on dit pour pouvoir dire se qu'on pense." Josh Lun 23 Juil - 16:39 | |
| … Elle l'avait prit pour un con ; avec sa première remarque sur les peintures pinceau et autre geste technique d'artiste. Il avait bien compris qu'elle avait dit ça uniquement pour le taquiner, pour rentrer dans son jeu, histoire de lui faire comprendre que parfois il pouvait être con et désagréable. C'était un juste retour de baton après tout. Bob était derrière, observant la scène, en train de se marrer... Josh regarda où se trouvait le bonnet qu'il avait déposé, peut être que c'était quand même une bonne idée de l'égorgé avec. Mais l'inconnue semblait quand même s'y connaître en peinture, ou du moins faisait semblant. C'était pas faux qu'on retrouvait pas ce genre de style dans une école d'art. Peut être parce qu'ils sont trop stéréotypé, qu'on ne leur apprend pas à être créatif, et que Josh n'a jamais comprit l'intérêt de peintre 38 fois la même corbeille de fruits si à la 39eme fois on ne peut pas mettre un pamplemousse à la place de la poire. Faut dire aussi que Josh n'avait jamais eut le fric pour prendre des cours, et que les quelques (vrais) conseilles qu'on lui donna étaient tous ceux de professionnels, qui s'y connaissaient réellement et qui avaient beaucoup compté pour Josh. Mais c'était vrai que, si aujourd'hui la possibilité lui serait donné de rejoindre une école d'art, il y'avait neuf chance sur dix pour que Josh balaie l'invitation d'un revers de main. Par contre, il était impossible pour Josh de dire si c'était un compliment ou non, ce qu'elle lui disait. C'est vrai, ca veut dire quoi unique ? Ce que faisait sa petite nièce de 8ans étaient tout à fait unique aussi, c'était pas joli pour autant. J'ai jamais mis les pieds dans une école d'art. Mais mon mentor était Charles Rodeling.
Ça claquait de pouvoir placer ça dans un CV. Ce type, afro américain, était un peintre qui avait eut une certaine réputation, notamment avec l'avènement du mouvement surréaliste. C'était également un artiste engagé qui lutta contre les discriminations. Bon, il avait pas que des bons côtés non plus. C'était un peu le Amy Winehouse de la peinture. Il se sera fait discret sur les trentes dernières années de sa vie, arrêtant de fréquenter ce milieu. Il finira ses beaux jours en Louisianne, là ou Josh le rencontra. Ce type, c'était pas Dali non plus, mais ceux qui s'y connaissaient un peu plus que bien dans la peinture moderne devait déjà avoir entendu son prénom. Et puis, ca expliquait bien le style inexplicable de Josh, justement. Puis voilà qu'elle voulait parler de son travail en l'invitant à voire un café... Mouais... Qu'est ce qu'elle voulait celle là ? Elle l'intriguait. Mais à tout les coups il allait tombé sur une gonz' qui avait juste envie de voire un café et qui voulait faire la maligne en parlant peinture du 19eme siècle avec lui.
Euh ouais, ca pourrait être cool, mais j'ai mon truc qui ressemble à un stand à tenir tout l'aprèm.
C'était une excuse bidon, et ça se voyait. Bob pouvait bien s'occuper de ça pour lui. Après tout, la dernière fois qu'on lui avait dit cette phrase, il avait fait exactement la même chose, mais la personne avait un peu insisté et finalement, il réussi à sortir de prison 10 ans plus tôt que prévu. Ya des gens qui vendent du rêves, il y en à d'autre qui les réalisent. Peut être que Josh allait tombé sur la bonne personne. Il lui avait tourné le dos, lui donnant un signe de tête en guise de « bonne journée, pour finalement ce retourné. Il avait rien à perdre. Puis il avait trop envie d'un café depuis le début de la matinée.
Ok mais on s'assoit près de la fenêtre, et je prend un supplément de crème fraîche dans mon café.
Il se tourna vers Bob qui lui avait lancé un regard l'aire de dire« Tu vois, suffisait que t'enlève ton bonnet pour que ça se passe bien ». Mouais. On verra la suite.
Bob ; la dame veut me draguer en m'offrant un café, tu sais t'occuper de mes ventes pendant ce temps ? Je reviens dans pas longtemps, promis.
C'était surtout qu'il avait pas confiance, et que Bob était capable de tout entreposer dans sa camionnette, de partir et de plus jamais lui donner signe de vie. Josh savait très bien qu'elle voulait pas le draguer, mais bon, si il avait simplement dit « je vais boire un café avec une dame qui s'interesse a mon travail et qui a un arrangement professionnel à me proposer », ça aurait plus été Josh. Bob acquiesca de la tête, il sortit du trottoir où il était empiétré depuis ce matin et pouvait partir à présent. |
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