Il était quoi peut être midi, je ne savais pas trop. J'étais à fond, dans la réalisation de cookies. Oui oui vous hallucinez pas lullaby williams fait de la cuisine. Il y avait une odeur de brûler dans la maison. Mais je m'en foutais j'avais envie de faire de la cuisine. Je n'étais pas un cordon bleu, la chose que je savais mieux le faire, c'était les pancakes, et toute la famille pouvait le confirmer l'experte des pancakes c'est moi! Je finis par entendre la porte d'entrée se claquer assez violemment. D'après le bruit cela devait être Sunshine, cette dernière monta rapidement dans la chambre. Surprise je finis par la suivre. Je portais un short et un t-shirt dix fois trop larges pour moi. Je finis par monter à mon tour. Alors que je montais les escaliers, une porte se claqua à nouveau. Je levais les yeux au ciel , c'était une maladie ici de claquer les portes. Sun ? Fis je en toquant et en entrant dans la chambre par la même occasion. Cette dernière était couché sur le lit la tête dans le coussin. J'arquai un sourcil. Je l'entendis renifler. Elle pleurait. Je fronçais les sourcils a nouveau. Je ne savais pas quoi faire, je n'avais pas l'habitude de la consoler, si on peut dire ça comme ça. Je jouais avec mes mains pendant un instant. Je finis par m'installer sur le lit, posant une main sur le bras de ma sœur. Je me mordis la lèvre inférieure, je ne savais vraiment pas quoi dire. Sun ? Qu'est ce qui s'est passé ? Lui fis je, en parlant tout doucement. Je me mordis à nouveau la lèvre. C'est Zac? Lui fis je, en ravalant ma salive, Si c'était lui j'allais surement lui casser la gueule, mec ou pas mec, ou sinon j'allais envoyer Thybou ou nicho' tient. C'est plus simple. Attendant une réponse du Sunshine. Je lui tendis une boite de mouchoirs. S'il te plait arrête de pleurer, j'avaime pas voir les gens pleurer, et surtout pas ma petite soeur. Je fis un petit sourire, ma petite soeur, ça faisait bizarre de dire ça.

Elle avait hocher la tête quand je lui avais demander si c'était à cause de Zac. Elle avait replonger sa tête dans son coussin. Si tu veux j'peux envoyer Hector le mordre.., lui fis je en tournant la tête face au chien de combat de la maison, il était couché de tout son long sur le coussin au bas du lit. Il semblait absolument inoffensif. Enfin pour le chien d'attaque on repassera, lui fis je en souriant faiblement. Alors que je lui tendais une boîte de mouchoirs. S'il te plait arrête de pleurer, j'avaime pas voir les gens pleurer, et surtout pas ma petite soeur. Elle m'avait regarder, ces trois mots nous avait surprise toutes les deux. Elle finit par me dire en sanglotant légèrement, elle m'avait prise dans ses bras. Chose qui n'était jamais au grand jamais arrivé avant. Faut pas se voiler la face non plus nos discutions, ou plutot dispute s'apparentait a celle qui fera le plus chier l'autre. Légèrement surprise, les contact physiques c'était pas vraiment mon point fort, j'étais un peu handicapée à ce niveau là. Elle finit par s'écarter de moi, toujours les yeux embués de larmes Je suis tellement désolé Lully.. Tu ferais peut-être mieux de me renvoyer en France. Je te nuis, je m'en veux tellement, de tout ce que j'ai fait endurer depuis que je suis là.

Je le fixai pendant un long moment, sans rien dire. Je pris une grande inspiration. Je ne comprenais pas tout, elle s'excusait de quoi au juste? Je ne comprenais pas tout, enfin je comprenais pas du tout à ce moment, pourquoi, me disait elle cela. Je sortis un autre mouchoir de la boite pour lui tendre, je répétais cette opération, pendant une vingtaine de minutes cogitant à ce qu'elle m'avait annoncé, je ne saisissais pas. C'est bon t'est calmé? lui demandai je d'une voix toute douce. Ca va un peu mieux? T'a au moins pleuré pour dix ans. J'aurais du m'abstenir de ma petite vanne. Elle se remit à pleurer. Non mais je ne voulais pas, arrête de pleurer Sun, c'était pas drôle ce que j'ai dis je sais. Arrête de pleurer s'il te plait. Lui fis je alors que je me rendais compte que le stock de mouchoirs était épuisé. J'allais tuer zac, foi de Williams, on ne fait pas de mal à ma petite soeur. Je revins avec une autre boite de mouchoirs. Je lui fis un petit sourire, elle était couché sur son flan, elle avait arrêter de pleurer. Elle regardait par la fenêtre, je me rassit à ses côtés. J'ai préparé des cookies, tu veux que je t'en ramène avec un chocolat chaud. Après j'irais te chercher de la glace. Je luis fis un petit sourire avant d'ajouter. Et jamais je te renverrais en France, tu fais partie de ma famille et la famille, on les abandonne pas comme ça.. Je t'interdis de me redire ça..