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| Sujet: SBJOHANSSON « it's time to try defiying gravity » Dim 18 Sep - 20:35 | |
| ♣ HEP HEP HONEY ; REFILE MOI TES PAPIERS AVANT DE VOULOIR ENTRER DANS LA COUR DES GRANDS
Hey Honey, Bienvenue à Manhattan j'aimerais bien savoir comment tu t'appelles SATINE BELINA JOHANSSON ; c'est mignon mais tes amis doivent bien te donner un petit surnom, le tien c'est quoi SATS ; Très bien, allez Honey tu m'as l'air jeune dis moi tu as quel âge ? 20 ANS. Tu es née où d'ailleurs, comme ça je pourrais te le fêter si je n'oublie pas LE 25 JUILLET 1990 A MEXICO. Dis moi, tu es dans quel groupe ? UPPER EAST SIDE. Et ton jolie personnage tu l'as eus d'où ? SCENARIO.
« Seul l'avenir me dira ce que je serais dans 10 ans ; »
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Mexico; MEXIQUE dix-sept juillet mille neuf cent quatre vingt dix.
Je suis née dans la ville de Mexico. C’était une belle journée ensoleillée, il y avait un temps magnifique, la température avoisinait les quarante degrés ce qui n’était pas vraiment anormal pour un mois de juillet. Cependant, je n’allais pas être la seule à venir faire le bonheur de mes parents, en effets nous étions deux, des jumeaux. Inutile de vous dire le choc que cela a pus faire à mes parents lorsqu’ils l’ont appris au bout du cinquième mois, lors des premières échographies le docteur avait pourtant assuré qu’ils auraient une petite filles et pourtant, surprise. Ils avaient entrepris de faire une chambre toute en rose, des coussins rose, le berceau rose, des ours rose, les murs rose, en bref c’était panique à bord. Leur petit garçon allait sans doute être traumatisé à la vue de toute cette énergie girl power. Aussi leur médecin les avait prévenus, ils allaient avoir des prématurés, c’était quelque chose de presque normal lorsqu’on allait mettre au monde des jumeaux mais ça leur avait mis une sorte de pression plutôt étrange. Des remises en questions quand a leur avenir, le travail de chacun, la maison, tout allait trop vite et ils étaient incapables de ne pas se poser trop de questions. Surtout après avoir appris que leurs enfants resteraient probablement plus de trois semaines à l’hôpital ils ne savaient plus ou ils en étaient. Toujours est-il qu’en cette fin d’après midi lorsque la main de ma mère se crispa sur la cuisse de son mari, il ne lui fallut pas plus d’une demi seconde pour comprendre que le travail venait de commencer, c’était trop tôt ils le savaient pertinemment. Le break sorti du garage sur les chapeaux de roue, ma mère à l’arrière suppliant son mari de se dépêcher sinon elle allait probablement le tuer et celui-ci qui faisait en sorte de ne pas se faire arrêter par la police ni de renverser quelqu’un au passage. Ils mirent une bonne demi heure avant d’arriver à l’hôpital, temps record étant donné le flux dense de circulation qui caractérise la ville. Bref il fallu près de cinq heures au personnel hospitalier et bien entendu à ma mère, avant que mon frère daigne pointer le bout de son nez, je le suivis deux minutes après. Nous étions nés sur la fin du septième mois et mes parents n’avaient pas finis de s’inquiéter pour nous.
Mes parents s’étaient rencontrés durant le lycée, ils étaient sortis ensemble durant leur dernière année mais avaient finalement suivis des chemin différents. Lui, Robert Johansson, partait à l’université aux États-Unis tandis qu’elle, Victoria Davis, rejoignait sa mère en Angleterre. Ils avaient rompus d’un commun accord. Durant la première année les lettres pleuvaient mais la distance, le décalage horaire avait pris le pas sur leur relation et au final ils avaient perdu contact. Et ce fut cinq ans plus tard qu’ils s’étaient retrouvés par hasard dans un petit centre commercial de Mexico, c’était comme si rien n’avait changé. Robert n'avais pas eu besoin de réfléchir lorsqu'il l’avait vu, un regard, un sourire avaient suffit. C'était la femme de sa vie. Celle qu’il aurait voulus garder auprès de lui chaque secondes de son existence. Elle lui faisait perdre la tête, il la rendait plus folle de lui jour après jour. La flamme qui c’était allumé durant le lycée ne c’était jamais éteint. Il faisait tout pour la rendre heureuse, prêt à n’importe quoi, quitte à lui décrocher la lune s’il le fallait. Émerveillés l’un par l’autre ils n’avait d’yeux que pour leur amour, leur petite vie tranquille. Ils vivaient dans leur monde, plus personne n'était assez intéressant à part eux même, plus rien ne comptait à part leur bonheur qu’ils jugeaient parfait. Âgés tout les deux de vingt trois ans ils ne voulaient plus rien perdre de leurs histoire, ils étaient jeunes mais ils savaient parfaitement ce qu’ils voulaient et cela ne semblait pas très compliqué. Ils avaient décidé d’emménager ensemble, de partir tout les deux et avaient opté pour Los Angeles, ils avaient besoin de changer d'air. Lui parce qu’il avait l’opportunité de trouver un nouveau job, elle parce qu’elle avait toujours rêver de vivre dans la cité des anges. Un an plus tard Robert avait demandé la main de Victoria qui avait bien entendu dit oui, plus heureuse que jamais à l’idée d’épouser cet homme qu’elle aimait plus que tout au monde. Leur mariage avait été célébré dans la foulée et quelques mois plus tard ma mère lui annonçait qu’elle était enceinte. La boucle était bouclée en quelque sorte, un couple stable, un travail, un mariage et un bébé. Que demander de plus.
Los Angeles ; État-Unis dix huit août deux mille six.
▬ « Satine ! Tu viens prendre tes médicaments ou il te faut une invitation spéciale ? » La voix suave de ma mère retentissait depuis une bonne vingtaine de minutes dans toute la maison et moi la seule chose que j’arrivais à faire c’était regarder mon frère en train de se recouvrir entièrement les doigts de scotch. « Tu dois ranger ta chambre ! » Lui dis-je en pointant du doigt ses affaires qui trônaient au beau milieu de la chambre. Levant la tête vers moi il la secoua frénétiquement en haussant les épaules. « Je m’ennuie. » Répondit-il platement, poussant un soupir je sortis de la pièce, il me suivit en grommelant. « On dirais maman quand tu es comme ça… J’aime pas ça. T’es ma sœur, t’es mon demi moi, tu peux pas me donner des ordres. » Il avait sa mine grincheuse et essayait d’enlever son scotch en tirant la langue. « Je suis peut être ton demi toi mais maman va crier si tu ranges rien ! » Il se ventait peut être d’avoir deux minutes d’avance sur moi mais je ne pouvais pas m’empêcher de me dire qu’il avait été mal finis. Repassant par sa chambre je le vit triturer sa pompe à insuline. « Arrête de faire ça ! » Pour une fois il s’exécuta sans broncher, m’approchant doucement de lui je vérifiais que tout était en état avant de le serrer contre moi, j’avais l’impression d’avoir dix ans que plus que lui quand il faisait sa mauvaise tête. « Tu sais que tu dois faire attention… » Soufflais-je en l’aidant à enlever tout ce scotch. « J’aime pas être malade, j’en ai marre. » Je n’arrivais pas à le rassurer, car il souffrait de ne pas être comme les autres c’était dur pour lui et j’espérais que ma présence pouvait l’aider. Malgré tout ça c’était un garçon fort et très autonome, c’était lui qui me défendait parce que les grands de l’école aimaient bien m’ennuyer. « Toi au moins tu as de la chance, t’as pas de problèmes. » - « Oui je sais je suis la super jumelle et toi tu es le sale jumeau. Tu sais que ça va pas non plus. » Je lui avais répondu de manière très froide, je n’aimais pas quand il s’avouait vaincu et qu’il nous faisait le remix de Caliméro. C’était devenu comme un jeu pour lui, celui de nous deux qui était le plus malades remportait sûrement un lot dans son esprit parfois tordu. Bien entendu ma mère devait être toujours alerte, Ethan était celui qui avait le plus besoin d’attention et c’était une chose tout à fait normal, il était diabétique et avait réellement besoin de soin à chaque instant. Surtout parce qu’il était très bagarreur et qu’il fallait sans cesse vérifier son insuline, il était obligé de l’avoir sur lui vingt quatre heures sur vingt quatre, on ne savait si un jour ça changerait. Mais lui, il ne voyait pas ça comme cela, il voulait qu’on le laisse tranquille, j’étais une des seules qu’il laissait vérifier si tout était normal, mais je savais que si je n’avais pas été sa jumelle, juste sa grande ou sa petite sœur ça n’aurait pas été pareil. Lui faisant un bisou sur la joue, je partis en sautillant de sa chambre, notre mère avait finie par se lasser et m’attendais assise sur mon lit. « Alors ma belle ça va mieux ? » Me demanda-t-elle en caressant doucement le bas de mon dos, posant doucement ses lèvres sur mon front elle avait une mine soudainement soucieuse. « Tu as encore un peu de fièvre Satine tu es sûre que tu ne veux pas aller chez le médecin ? » - « Ca va maman je te promet, va plutôt voir Ethan il s’amuse à se coller du scotch partout ! » Se levant en secouant la tête elle éclata de rire. « Qu’est ce qu’on va faire de ce gosse ? » Je haussais les épaules avec un grand sourire. « On l’attache et on l’abandonne ! » Elle sortis de ma chambre en caressant doucement mes cheveux avec un sourire en coin.
Cela faisait un an que mes parents avaient divorcés, ils avaient finis par ne plus se supporter, elle parce qu’elle le trouvait trop peu concerné par les problèmes de ses enfants, lui parce qu’il en avait assez de sa femme et surtout il voulait avoir de l’air, ne plus être obligé d’avoir une vie de famille. Son travail était prenant, vers la fin il ne rentrait plus à la maison, il se noyait dans son travail. Il était reparti au Mexique, nous laissant la maison de Los Angeles cependant, ma mère savait qu’un jour il nous faudrait partir, il y avait de très mauvais souvenirs pour elle. Pour l’instant ma mère ne pouvait pas quitter son travail mais dés qu’elle en aurait l’occasion je savais qu’elle nous emmènerait loin d’ici. J’étais sûre que c’était mieux pour nous trois.
New York ; État-Unis dix septembre deux mille onze.
Assise en tailleur dans ma nouvelle chambre je tirais sur ma cigarette avec nervosité en observant mon frère qui faisait les cent pas dans la pièce. Il me regardait comme si il allait me tuer sur le champ, soufflant la fumée vers lui je laissais échapper un petit rire avant de me lever à mon tour. Ethan venait de se battre avec un garçon du voisinage, notre mère était en train d’essayer de calmer les parents hystériques du jeune homme, quand à mon frère il devenait de plus en plus calme.
▬ « Tu te rend quand même compte qu’on viens tout juste d’arriver et toi tu frappe déjà quelqu’un ? » Lui dis-je en m’allumant une énième cigarette, s’approchant de moi il me l’arracha de la bouche avant de tirer une latte dessus. « J’aime pas qu’on te reluque, j’aime pas qu’on te cherche, j’aime pas qu’on essaye de te toucher. T’as toujours pas compris ça ? » Répondit-il en me regardant avec un sourire en coin. « Et tu es fragile, on t’emmerde pas. Basta. » Alors la, je devais rêver, je le savais protecteur mais il y avait quand même des limites, fragile. Tout de suite les grands mots. « Ouais et par ma faute tu risque d’aller en taule, tu réfléchis jamais ? » Il ne me répondit pas, se contentant de me regarder d’un air complètement interloqué. Il y avait des moments ou j’avais envie de le secouer, très très fort et de lui demander de se calmer parce qu’il allait loin. J’étais d’accord sur le point qu’il s’énerve, seul, dans sa chambre, contre son coussin, que le coussin gagne aussi pour rigoler. Toujours est-il qu’il avait parfois des réactions disproportionné.
Nous étions arrivé à New York deux jours auparavant et nous avions déjà des problèmes de voisinages, qu’est ce que ça allait donner a l'université. C’était mon principal sujet de conversation, au moindre souci Ethan allait clairement devenir dingue et il allait avoir de vrais et gros problèmes. Notre mère pouvait peut être le sauver sur ce coup là mais en dehors de la maison elle ne pourrait plus rien faire. « Et à la fac tu va faire comment ? Tu vas accourir tel Superman dés que j’aurais un souci ? » - « J’vais casser des dents. » Dit-il en me regardant droit dans les yeux, au moins cela avait le mérite d’être clair. Je sentais que cette année n’allait pas être de tout repos. « Et ta pompe en est ou ? » Je m’asseyais sur le lit en l’attirant vers moi. « Tout va bien t’inquiète pas, arrête de toujours stresser, j’suis un grand garçon. » Me levant en soupirant je lui tendis sa guitare. « Joue, faut qu’on se détende je crois. » Il prit la guitare en entamant les premiers accords d’une chanson de Paramore, j’éclatais de rire avant de le suivre en chantant. En bas notre mère devait s’arracher les cheveux à le défendre et nous nous étions en train de pousser la chansonnette, ça promettait pour la suite ça.
Deux jours plus tard il nous fallait rentrer à Yale, l'université qui avait été bien mignonne d’accepter mon frère malgré la plainte du voisin. Sortant de la maison Ethan pris le volant en sifflotant, il n’avait pas l’air si détendu que ça. M’allumant une cigarette je le regardais avec un sourire. « N’oublis pas, je suis la gentille jumelle, tu es le méchant jumeau. » Posant sa main sur la mienne il éclata de rire en hochant la tête. « Cette année va donner. » Répondit-il simplement. Pour donner, ça elle allait donner.
« m'approches pas de trop près, tu pourrais le regrettais ; »
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Satine n'est pas quelqu'un que l'on peut vraiment cerner de prime à bord. La seule chose que l'on peut savoir c'est qu'elle a un caractère bien trempé, qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds et si elle a quelque chose à dire elle le dira. Elle a aussi une très grande g****e et ne se prive pas pour dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas, heureusement pour elle, elle sait cependant prendre sur elle et se tait lorsqu'il le faut. Gentille, douce et attachante elle n'est pas le genre de fille qui fait fuir à cause de son caractère de m*rde. Elle s'est surtout forgée une très grande carapace et ne laisse pas n'importe qui la percer à jour. En gros, si vous n'êtes pas son ami et qu'elle ne vous aimes pas vous serez assez vite tenu au courant. Cependant si elle tiens à vous, ce sera une autre personne que vous découvrirez, elle ne se livre pas a grand monde mais ses vrais amis savent que c'est une jeune femme qui peut être très douce et attendrissante.
« l'habit ne fait pas le moine, j'en suis la preuve ; »
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Hmm... A quoi ressemble Satine ? C'est très simple, grande, élancée, mince. Taille mannequin ça vous parle ? Enfin elle est parfaite quoi ! Ironie les amis. La jeune femme ne se trouve pas trop mal physiquement, elle n'a pas à se plaindre en effet. Cependant elle se trouve peut être un peu trop banale, long cheveux bruns qui tombent en cascade sur son dos. Les yeux verts en amande, c'est une des choses qu'elle aime le plus chez elle. Ses yeux, elle aime à dire qu'ils sont semblable à ceux des chats, qu'ils sont un rien étrange. Toujours est-il que malgré le fait de ne pas être narcissique elle ne se trouve pas trop mal et puis basta. Satine ne s'attarde pas vraiment sur ça même si elle sait qu'elle peut en jouer.
« Moi aussi j'ai une vie ; »
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On m'appelle BLONDIE, et j'ai 19 printemps. D'ailleurs, j'habite en FRANCE. Comme vous pouvez le voir, j'ai choisi ASHLEY GREENE (m'enfin j'avais pas vraiment le choix ). Vous allez devoir me supporter 6 jours par semaine. Tout ça à cause de THAT'S A SECRET . Pour terminer, ces admins là m'ont demandé un code, s'il ne sont pas sadique eux, moi je ne sais pas. Il me semble que c'est - Spoiler:
Your love is where i'm falling but please don't catch me
. En plus de ça, ils me demandent de créditer mes icons et mon magnifique avatar BAZZART. J'suis canon dessus, hein ? Une dernière petite question pour la route, attention la plus difficile : As tu remplis le Recensement des avatars ? C'est obligatoire ! Attention Manhattan je suis là pour le meilleur et surtout pour le pire.
Dernière édition par Satine B. Johansson le Sam 24 Sep - 0:37, édité 3 fois |
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Lullaby Williams-Cepreani
⊰ WILD CHILD, FULL OF GRACE
| Sujet: Re: SBJOHANSSON « it's time to try defiying gravity » Dim 18 Sep - 20:56 | |
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