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| Sujet: Je suis un connard. Et après ? || 100% Sam 20 Aoû - 2:51 | |
| ♣ HEP HEP HONEY ; REFILE MOI TES PAPIERS AVANT DE VOULOIR ENTRER DANS LA COUR DES GRANDS
Hey Honey, Bienvenue à Manhattan j'aimerais bien savoir comment tu t'appelles Matteo Lionel Hummel ; c'est mignon mais tes amis doivent bien te donner un petit surnom, le tien c'est quoi Matt ; Très bien, allez Honey tu m'as l'air jeune dis moi tu as quel âge ? 25 ans. Tu es née où d'ailleurs, comme ça je pourrais te le fêter si je n'oublie pas 18 novembre à New York. Dis moi, tu es dans quel groupe ? UPPER EAST SIDE Et ton jolie personnage tu l'as eus d'où ? PV .
« Seul l'avenir me dira ce que je serais dans 10 ans ; »
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Je suis New Yorkais. New York est mon terrain de chasse, New York c'est mon terrain. New York c'est un territoire, c'est le mien. Je suis né le 18 novembre à New York dans la richissime famille Hummel où on sait ce que l'on veut de génération en génération, mon truc à moi ? C'est la politique. Mais bon, pour l'instant ne sautons pas d'étape et laissez moi vous parler de ma vie. Enfin, une partie de ma vie, je ne pense pas avoir assez de temps à perdre avec vous. Donc vous allez bien m'écouter et ne pas me faire perdre trop de temps, je suis certain que vous pouvez faire ça n'est ce pas ? Bien, asseyez vous, et écouter la vie du salaud que je suis.
Depuis que je suis jeune, j'ai un caractère fort, le chef de la bande de copain, le premier qui fait des conneries, le premier qui est punit. Mais j'ai toujours pu échapper à la plupart de mes punitions, trouvant un moyen de contourner les problèmes. J'ai toujours fait des conneries, je suis un con, je le sais, je l'assume, je le revendique même. Et ce que vous pensez, ça me passe bien au dessus, et si je suis le sujet de vos conversations c'est plutôt flatteur, vous parlez de moi. J'ai grandi à New York, et j'en tire une grande fierté, mais je ne suis pas toujours resté à New York. Mais là je vais un peu vite, vous risquez de ne pas tout suivre, je me demande vaiment pourquoi je perd du temps avec vous, je dois être sous un bon jour, et vous devez avoir beaucoup de chance.
Je suis rentré dans un établissement privé : Saint Jude, école pour garçons collée à une école pour filles, c'est con, parce qu'au finale, ça fait plus mixte qu'autre chose, et je vous assure que j'en ai connu des filles. Oh oui, j'en ai connu des filles, et toutes écartaient les cuisses, pour un oui, ou pour un non. Les filles de l'Upper East Side, toutes prude à l'extérieur, mais une sacrés bande de chaudasse quand tu leur présente ta limousine. Y'en a eu une ribambelle sur le cuir de la limousine de Matteo Hummel, elles en redemandaient toutes, je leur promettais tout, bijoux, sentiment, vêtements, présentation à la famille, mais ce qu'elle récoltais c'était un aller dans le lit de Matteo et un Dégage quand j'ai finis. Elle pense que je fais ça pour me faire désirer c'est faux, je me lasse des femmes, je les jette, je les réutilise si j'ai envie. Mais je vais aussi aux putes. Mais attention, pas celle qui trâine n'importe où, non, non, je tape dans la pute de luxe, celle qui ont l'air de bourgeoise à la mode, ce sont les pires, elles font n'importe quoi pour une liasse de billets, et des liasses, j'en ai. J'aime les putes de luxe, elles font bien leur travail, elles sont toutes nympomanes, et moi ça m'arrange bien, mais mes préférés se sont les vierges, on les embobine quelques jours, en moyenne six ou sept jours, et encore, ça c'est que je suis pas sous un bon jour, et hop, elles te tombent dans les bras. Elles tremblent de douleur sous la force vigoureuse du connard Hummel, et après, elles viennent en redemander. Mais une fois souillée, moi j'y retouche plus et voir leur visage se décomposer, ça m'fait jouir.
J'ai couché pour la première fois, je devais à 15 ans. Avec cette fille qui avait mon âge, franchement à cette époque j'étais déjà un sacré, mais à cette époque j'avais attendu plus de six mois avant de la sauter, une fois dépuceler, j'ai rompu, brisant son cœur et jubilant à recevoir des textos désespérée. Auprès des filles je passais pour un salaud qui les culbuterais bien à un jour, et pour les mecs, j'étais un salaud, mais j'étais un héros. L'amour vous dîtes ? c'est quoi ça ? Non je connais pas. C'est pas cette merde qui pourrit la vie des mecs qui tombent dedans ? Ouais non, ça très peu pour moi. Les sentiments c'est prise de tête 'ai autre chose à foutre que d'envoyer des textos super niais à une fille que je jetterais dans la semaine à suivre, non pas que je sois radin en texto, mais franchement, c'est de l'énergie qui passe par les fenêtres, sérieux les mecs réveillez vous.
Pardon ? Lily Stanfield ? Attendez attendez, j'ai pas fini me faîtes pas chier. En rentrant à Saint Jude, les filles m'évitaient, mais souvent je les retrouverais à me chauffer dans les clubs, elles me faisaient toutes du pieds et plus haut que ne le veut la morale bourgeoise. Certaines étaient tout de même plus fine que d'autre, elles savaient que c'était pour un soir, et elles partaient dans la nuit sans attendre de petit déjeuner, c'est celle là que j'appelais le plus souvent. Parce qu'elles prennent pas pour leur copain, du sexe, et au revoir, on se croisera aux lycées, on se dira pas bonjour, alors que j'aurais explorer des contrés bien intimes. Donc, oui, Lily Stanfield ? Pardonnez moi, mais pourriez vous me rappeler qui est cette fille ? Oh, elle.
Lily Stanfield, petite bourgeoise de l'Upper East Side, jouait aux grandes dans les rues. J'ai pas fait dans le romantisme, j'avais juste envie, elle était d'accord ou non, j'en sais rien, mais en plus, je m'en foutais. J'étais en étude de sciences politiques à Yale, j'étais avec Thybalt, un pote à moi, j'étais jeune, non, je ne regrette pas, que je regrette d'avoir vu cette étincelle se briser dans les yeux de cette gamine ? Bordel, c'était un pied d'enfer. Il y a 5 ans, j'ai pris la petite fleur de la demoiselle, j'ai bien ris, je partais pour la France deux jours après, je n'ai jamais été embêté avec ça, rien à foutre. Je l'ai aperçue dans une rue, faut dire qu'elle devait pas en laisser beaucoup indifférent, mais c'est moi qui lui est tout pris, moi ce que je voulais c'était entendre couiner ces lèvres, parce que c'était ses lèvres, cette bouche qui m'avait fait envie. J'ai cédé, j'ai pris ce que j'avais à prendre, j'ai remonté mon pantalon, fermé ma braguette et j'ai laissé cette fille dans les rues, j'ai pas fait attention si elle pleurait ou non, si elle voulait ou non, j'avais juste baissé mon pantalon, c'est tout. Point à la ligne, pas d'épilogue. Fallait pas jouer les grandes dans les rues de New York.
Après je suis parti à Paris, faire des études en échange dans une grande école avant d'entamer ma vie professionnelle, et les françaises, oh oui, j'adore les françaises. Je gagne déjà très bien ma vie, merci le piston, vous pouvez pas me reprocher mes privilièges de naissance, à quoi ils servent sinon, ne soyez pas stupides. Je suis revenue à New York, j'ai même décidé de faire des conférences à Yale, les étudiantes sont toujours plus ouvertes. Pardon ? Moi un connard, non sérieusement, vous pensé que je suis blessé ? T'es con ou quoi ? Allez dégage.
« m'approches pas de trop près, tu pourrais le regrettais ; »
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Bonjour. Mon prénom est Mattéo, et je suis un salaud de la pire espèce. Je n'ai de limite que moi même, c'est à dire pas beaucoup. Je ne vis que pour moi, je suis toujours le mauvais gars dans toute les histoires, mais j'aime jouer ce rôle, parce que franchement, les autres, je m'en fous. Je me fous royalement des autres, je n'en ai absolument et définitivement rien à foutre, tant que l'on me fait trop chier, je vous emmerderais pas, pas de soucis. Et encore, j'aime bien mettre les gens dans des situations pas possibles, je crois même que j'y prends du plaisir.
Je suis un branleur, un pauvre type, le mauvais gendre, celui qui brisera ton coeur par plaisir, le petit con, l'ambitieux, le salaud, celui sur qui il vaut mieux pas trop compter. J'ai toujours eu beaucoup d'ambition, moi vous savez, être dans le commun des mortels, très peu pour moi, je passe mon tour. Et bien entendu, tous les moyens sont bons.Que ce soit pour mes buts, ou pour ma vie quotidienne, mes actes servent mes intentions, malgré mon impulsivité. Oui, je suis impulsif, mais je suis connu pour ça. Vous avez parlez de moi, ne le niez pas. On parle de moi en des termes souvent qui s'accordent, je suis égoïste, je suis un salaud, et je n'ai pas de scrupules. J'ai toujours eu tout ce que je voulais, les filles, la drogue, le titre de King, j'ai toujours tout ce que je veux, que vous soyez d'accord ou non. Je peux prendre par force, rien à faire. Et m'excuser ? Jamais. Ca certainement pas. Orgueilleux au possible, et dont la fierté n'a d'égale que ma violence. Je n'ai peur de rien. Rien du tout. L'argent faiit le tout, et mon intelligence fait le bonus.
« l'habit ne fait pas le moine, j'en suis la preuve ; »
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Moi ? J'ai la classe. Ne cherchez pas, j'ai juste la classe, je ne suis pas les modes, je les refaits, les défaits. Je suis riche, et j'en profite, je ne porte que du luxe, du luxe et de la qualité. Mes costumes sont taillés sur mesure, et j'ai un dressing plus grand que celui d'une nana. De haut en bas c'est réfléchi, rien n'est laiss au hasard, et si je fais négligé, c'est parce que c'est tout réfléchi. Un Jean, un tee shirt, une paire de chaussures italiennes et on a l'impression que je peux avoir toutes les filles à mes pieds. En même temps, avec ma carrure, vous me direz : NORMAL. Je mesure un mètre quatre vingt sept, je pèse soixante douze kilos, et je vous assure qu'il n'y a pas un gramme de graisse, j'ai les épaules larges et la carrure plutôt imposante, je suis un sportif malgré ma vie de débauche, je côtoie tous les deux jours la salle de sport, on muscle les jambes, et mes petites, j'ai un cul du tonerre de dieu. Un vrai don du seigneur. Je n'ai aucun complexe, et surtout aucune pudeur. Je suis tout sauf gros laid et moche. Je suis brun, et laisser pousser ma barbe de trois jours me donne un air de baroudeur, les filles adorent. J'ai l'oreille percée, mais ça me donne pas un air de Kevin sorti de Brooklyn, c'est juste classe. Je suis tatouer, mais ça je préfère garder la surprise au filles qui me déshabillent. Oui j'aime les femmes et alors ? Vous allez me reprocher de leur donner du plaisir ? Ah pardon, j'oubliais, vous ne m'aimez pas parce que vous êtes médiocres, excusez, jai toujours été au dessus de tout le monde, je peux pas savoir. Je ne suis pas le mec que l'on pourra trouver dans la rue avec la chemise deux jours de suite, jamais, je suis toujours hyper propre, je sans le Dior Homme, le savon, le café et la clope, un vrai odeur de mâle, qui fait chavirer même les plus rebelle. Enfin chavirer, elles se mettent à quatre pattes. Quoi ? Je suis odieux ? Je croyais qu'on avait déjà fait le tour de ma personnalité, comment ça oui mais quand même ? Mais va te faire foutre ! Retourne à ta vie de merde et lâche moi.
« Moi aussi j'ai une vie ; »
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On m'appelle Solène ou JUMBI, et j'ai 18 printemps. D'ailleurs, j'habite à LA FRAAAAAAANCE. Comme vous pouvez le voir, j'ai choisi Orlando Bloom. Vous allez devoir me supporter -- jours par semaine. Tout ça à cause de DC de Seven. Pour terminer, ces admins là m'ont demandé un code, s'il ne sont pas sadique eux, moi je ne sais pas. Il me semble que c'est Ok By Ap'. En plus de ça, ils me demandent de créditer mes icons et mon magnifique avatar UNKNOWN. J'suis canon dessus, hein ? Attention Manhattan je suis là pour le meilleur et surtout pour le pire.
Dernière édition par Matteo L. Hummel le Sam 20 Aoû - 13:24, édité 4 fois |
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